Souvenons-nous de l’élection de Trump. Des millions
d’Américains ont voté pour un candidat à l’opposé de l’agressive, de
l’irascible Clinton qui voulait, tout de suite, en découdre avec les Russes.
Elle en avait déjà la bave aux lèvres et le rimmel en fureur !
Grosse mouche dans le potage ; Trump est élu !
Alors le « pouvoir profond » se déchaîne comme jamais. Tout d’abord,
il est évident pour celui-ci que la
grosse vache décolorée, n’a été élue QUE grâce à Poutine. Il ne peut pas en être
autrement vu qu’ils se connaissent et s’apprécient. La campagne de presse,
politique et judiciaire qui va suivre pour prouver que Trump est une
« marionnette » des Russes est cataclysmique. Jamais, dans toute
l’histoire des
Etats-Unis un président fraîchement élu, n’a été attaqué
d’une manière aussi virulente, aussi haineuse. Nous en avons tous été les
témoins stupéfaits.
Mais que se passe-t-il près d’un an et demi après ?
Hum ? Nous sommes au bord de la guerre comme jamais, même au temps de la
guerre froide ! A l’exception, peut-être, de la crise des missiles à Cuba.
Pire ! Trump ose écrire que la tension n’a jamais été aussi forte entre
les deux pays. En résumé ; Trump, « l’espion venu du
froid » devient le plus virulent va-t-en guerre que l’Amérique n’ait
jamais connu. Si Poutine l’a fait élire, il s’est dangereusement foutu le doigt
dans l’œil.
Alors, mes amis lecteurs ? Quelle conclusion doit-on en
tirer ?
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