jeudi 30 mai 2019

WALL STREET OU L'ATELIER DU DIABLE

Vous remarquerez que j’ai bien mis une majuscule à « Diable » ! C’est tout à fait normal quand on parle d’un  Prince, celui des ténèbres, comme le désigne ainsi la Bible. Les esprits
« forts », les rationalistes de tous poils, la crème du monde intellectuel occidental, l’ont éliminé depuis longtemps de leur champ de vision, de leur préoccupation de recherche, et même complètement de leur esprit.
On le range désormais dans l’armoire des fantasmes ridicules, des contes à dormir debout, des paranoïas de quelques attardés mentaux, des fantasmes de pauvres hères incultes et déboussolés, et bien sûr, pour terminer cette liste non exhaustive, de ces éternels naïfs que sont les croyants, les religieux. Quelle erreur monumentale ! Tous ces esprits « supérieurs » ont oublié une autre maxime de la Bible :
« La meilleure ruse du Diable est de faire croire qu’il n’existe pas ! »  Il » existe pourtant bel et bien, ce « Prince des Ténèbres ! »
Il a même élu domicile dans une grande métropole qui se nomme New York.  Il y a mis aussi son « atelier ! ». Là, où il fourbit ses plus sombres complots, ses plus effroyables mauvaises actions. Elles sont tellement énormes, ces mauvaises actions, qu’elles en sont quasiment invisibles ! Alors je vais tenter de vous faire partager ce que j’ai découvert avec un certain dégoût, du haut de ma crédulité vulgaire de pauvre citoyen, et qui est tombée en miette, dans un vertige proche de l’ivresse. Oui ! Cet « atelier » il faut que je vous le désigne tout de suite, c’est Wall Street. Car tout « Prince » a ses serviteurs, et le Diable a les siens : les banquiers !
Comme je pressens que certains ne vont pas me croire, et songent déjà à s’éloigner sur la pointe des pieds, on va revenir à des choses bien concrètes, bien « terre à terre » pour les rassurer sur ma santé mentale.
D’ailleurs, il n’est pas interdit d’y mêler un peu de plaisir musical, en faisant appel au génie d’un grand compositeur français : Charles Gounod. Il a composé un magnifique opéra « Faust » où le prince des ténèbres y a toute sa place. Il s’y fait appeler Méphistophélès, mais c’est bien Lui.
Eh oui ! « Le veau d’or est toujours debout » ! Nous savons tous qu’il se porte de mieux en mieux. Partout dans le monde, ses « églises » où l’on célèbre son culte, se nomment Down Jones, Cac 40, Nikkei, FTSE, DAX, etc.. !
Certains commencent peut-être à s’amuser de cette tournure un peu romantique et légère par laquelle j’enrobe cette réalité monstrueuse, mais ce que j’ai découvert ne prête absolument pas à sourire! Je vous prie de le croire.
On a appelé le vingtième siècle, le « siècle de fer ». Le monde a vécu des conflits dont l’ampleur, les cruautés, par le nombre des victimes et les destructions engendrées, ne s’étaient jamais vues, dans toute l’histoire de l’humanité. Aux conflits déjà sanglants, se sont ajoutés les horreurs indicibles fabriquées par des idéologies meurtrières de fous déments et paranoïaques contre leurs populations.  Pour certaines, ce fut littéralement vécu comme
 « l’enfer sur terre » !
Mais ce que j’ai appris, et que je vais tenter de vous apprendre, c’est que l’intégralité de toutes ces monstruosités incommensurables ont été sciemment programmées, voulues, organisées, par une pieuvre repoussante : la haute finance, le milieu bancaire anglo-américain.
C’est tellement énorme que les âmes les plus solides vont se cabrer devant cette réalité inacceptable. Et je comprends parfaitement bien qu’elle puisse être « inacceptable ».
La révolution bolchevique, le nazisme, ces deux fléaux infernaux, au sens vrai du terme, qui peut croire, qui peut admettre qu’ils sont les fruits vénéneux d’une oligarchie bancaire tapie dans les bas-fonds de Wall Street ? Qui peut le croire, et surtout l’admettre ?
Oui ! C’est même tellement effrayant que je n’ose pas aller titiller la queue de ce Diable-là !

Le veau d’or est toujours debout
On encense sa puissance
D’un bout du monde à l’autre bout
Pour fêter l’infâme idole
Rois et peuples confondus,
Au bruit sombre des écus,
Dansent une ronde folle
Autour de son piédestal..
Et Satan conduit le bal..

mercredi 29 mai 2019

LE CHAGRIN D'UN "RÉFUGIÉ" POLITIQUE!

Non! Je ne suis pas Boukovski, ni Soljenitsyne! C'est presque pire! Je suis prisonnier politique dans mon propre pays. Edgar Quinet l'a très bien résumé: "Le véritable exil n'est pas d'être arraché de son pays,; c'est d'y vivre et de n'y rien trouver de ce qui le faisait aimer". Depuis dimanche, je suis vraiment désespéré. Je ne pensais vraiment pas que mes compatriotes étaient aussi cons, aussi "veaux" comme le pensait De Gaulle. Il n'y a même aucune excuse à leur connerie et à leur égoïsme. Il me revient encore une autre citation encore plus pertinente de Joseph de Maistre qui avait l''excuse d'être Suisse et qui nous détestait; "Jamais on ne vit nation plus facile à tromper, plus difficile à détromper, et plus puissante à tromper les autres." Depuis dimanche, j’en suis aussi convaincu. C’est pourquoi je ferme définitivement le robinet à conneries des merdias offficiels. Je me refuse même à écouter les moindres infos venant de ces officines  de propagande d’un pouvoir mafieux que nos « ‘cons-patriotes » ont l’air de bien supporter puisque qu’aucune révolte ne semble poindre à l’horizon. J’ai été gilet jaune. J’ai vu ce petit peuple de désespérés et d’ oubliés, mais j’ai surtout entendu la bêtise à front de taureau de certains de mes proches et de mes amis qui les détestaient et les méprisaient parce qu’ils osaient, ces GUEUX, ces va-nu-pieds, bousculer leur petit confort de futurs esclaves de la finance. Cette belle finance qui est en train de bouffer leur âme, leur portefeuille, leur liberté, qui est en train de devenir leur maîtresse absolue. Cette finance qui vient de mettre un pantin au pouvoir pour mieux les asservir. Cette finance qui leur bâtit une magnifique forteresse-prison nommée « Union européenne » et dont ils élisent les geôliers avec une totale et parfaite naïveté. Ils me font penser à ces rats que le joueur de flûte emmène se noyer au son de son pipeau. Voilà pourquoi je suis désespéré. Je me suis enfui d’un autre piège à rats : facebook ! Ce faux réseau social qui nous fait croire à notre liberté d’expression mais qui nous enferme, en réalité, dans une cage invisible grâce à de puissants algorithmes qui nous font croire que nous avons beaucoup d’amis. Le monde de George Orwell avance à grands pas, en espérant qu’il ne soit pas déjà là ! Un seul bastion peut nous sauver de ce futur cauchemar, la Russie ! C’est d’autant plus paradoxal que pendant la plus grande partie de ma vie j’avais appris à détester l’Union soviétique.
Mais mes connaissances historiques récentes m’ont fait comprendre que s’il y avait un seul peuple sur terre pour comprendre ce qu’est vraiment la tyrannie et le bonheur de la liberté retrouvée, c’est bien la sainte Russie, la Russie éternelle. ! Celle que beaucoup de mes «cons-patriotes » n’aiment pas , ne connaissent pas, croie,nt toujours dans leur ignorance crasse, qu’elle est encore celle de Brejnev. Cette Russie qui nous a pourtant beaucoup aimé, admiré, qui nous a donné tant de chef d’œuvre littéraires, que nous avons envahie comme des soudards, mais qui ne nous en a jamais voulu. Enfin je terminerai sur une dernière citation, car j’ai une pensée émue pour ce pauvre Boukovski qui était venu se réfugier imprudemment en Occident, pensant y retrouver la liberté qui n’existait plus dans son pays. Quelle déception pour lui, quand il a compris que notre asservissement avait, là aussi, commencé.
« J’ai vécu votre futur ! C’est l’URSS ! »  On ne peut mieux résumer ! Comme lui, j’ai appris cette terrible vérité, et qui m’est apparu encore plus criante dimanche soir : le capitalisme libéral et le communiste marxiste sont deux TYRANNIES SŒURS ! Toutes les deux seront le tombeau de l ‘humanité,, si nous ne sommes pas capables de les terrasser.

J'ai vécu votre futur! 


jeudi 23 mai 2019

LE MAGNIFIQUE "PLURALISME" DE LA PRESSE FRANÇAISE!


Dans toute sa "beauté"! Et que tous les pays non civilisés nous envient!
Ce n'est pas au temps de la "Pravda" et des "Izvestia" soviétiques, sous Staline, que l'on aurait pu voir cette diversité, cette liberté de ton, d'une presse "libre" et "indépendante"!Heureusement, nous avons chassé toutes ces tyrannies communistes qui n'avaient qu'une seule presse aux ordres! Les pauvres! Vous vous rendez compte de la "chance" que nous avons aujourd'hui? Et il en a encore qui se plaignent?

vendredi 17 mai 2019

LA BRANLÉE ÉLECTORALE A …..90 KM/H


Nous avons tous entendu la bonne nouvelle, ce matin ! Le gouvernement recule devant sa bourde routière des 80 km/h. A votre avis, à quel phénomène étrange doit-on ce revirement, cet accélérateur providentiel de 10 km/h ? Mais oui ! Mais oui ! Vous l’avez deviné ! Nous l’avons tous deviné ! Pas la peine de le crier si fort ! Ce qui est comique, c’est de voir à quel point ces gens du pouvoir sont devenus transparent par la trouille qu’ils dégagent maintenant ! Elle en est quasiment palpable, physique. Espérons que les résultats électoraux seront à la hauteur de leur trouille.
« Demain, on rase gratis ! » Vieux slogan qui reprend du poil de la bête ! Même à l’ère des smartphone, de la 5G, et des patinettes électriques. Pour ces gens-là, la politique a toujours été un métier, et non un service public. Malheureusement pour nous, ils le font de plus en plus mal. Ils ne comprennent même plus la « ringardise » de leurs méthodes de propagande.

samedi 11 mai 2019

LE PRÉSIDENT ET SES OTAGES


Dans un pays totalement imaginaire, dans une république bananière qui n’existe pas (Dieu merci!) un président de la république détesté par la majorité de son pays, s’inquiète pour une nouvelle élection qui doit avoir lieu très bientôt. Il a été élu grâce à la complicité d’une bande de malfrats très friqués, des potes à lui ! Il sent que cette fois-ci, il va se prendre une raclée mémorable. Même ses complices journalistes, sorte de fonctionnaires des informations, toujours grassement payés par ses potes, ne pourront rien pour lui. Ils essaient bien, ces pauvres « chéris » toutes les ficelles de la propagande politique ayant fait ses preuves et dont ils usent déjà depuis des mois. Mais rien n’y fait ; la branlée fatale s’annonce, inexorable. Heureusement pour notre chef d’Etat en mauvaise passe, il a de beaux et magnifiques cabinets de communication. Ces outils précieux, pour tout dirigeant dans le panade, font souvent des miracles, et peuvent redresser des situations les plus tordues, les plus compromises. Donc, l’un deux est sollicité et ne tarde pas à pondre un scénario des plus diaboliques. Il s’agit d’envoyer deux faux touristes (mais vrais agents spéciaux ) dans un pays paumé d’Afrique, dans une zone improbable où règne déjà une certaine insécurité. Ces deux « agents-touristes » seront kidnappés par une équipe de branquignols payés d’avance pour jouer les méchants. Un beau feuilleton médiatique s’enclenche alors pour tenir le bon peuple en haleine ! Les journalistes sont à la manœuvre, trop heureux de jouer cette diversion dans le climat pesant de cette campagne électorale qui bat de l’aile. Et l’avantage, c’est que cela dure plusieurs jours, avec beaux reportages d’envoyés spéciaux, montée de la tension et du suspens. Enfin, l’attaque des « terroristes » et fin de la prise d’otages. Cela permet des heures et des heures d’émissions et de bavardages inutiles sur ce dénouement dramatique, mais excellent par les annonceurs publicitaires . L’armée est à l’honneur et bien évidemment, son « chef » suprême le président de la république. Retour en fanfare des héros organisé en grandes pompes. Accueil émouvant sur le tarmac de l’aéroport militaire, embrassades, yeux mouillés, félicitations, sourires,, et tous les « microteux » au garde-à-vous pour servir cette belle messe médiatique. On poursuit la « kermesse funèbre» par de belles funérailles nationales des soldats tués lors de cette mission ; petite bavure qui augmente l’intérêt émotionnel de la populace toujours sous le choc. Tout de suite, remontée dans les sondages, et notre président enfin soulagé ! Le cabinet de communication a bien fait son boulot. Une petite rosette se prépare pour son patron.
Tout ce que je viens de vous raconter est de la pure fiction. Cela sort uniquement d’un cerveau enfiévré, d’un esprit maladivement complotiste, et irrécupérable ! Il est tellement évident qu’un tel scénario est totalement absurde et d’ailleurs...ne s’est jamais produit dans aucun pays civilisé.




LES CATHOLIQUES N’ONT PLUS DE PAPE

Le plus grave, c’est que la majorité d’entre eux ne le savent toujours pas. Ils en sont orphelins depuis exactement le 11 février 2013 quan...