L’HOLOCAUSTE MONDIAL EST EN MARCHE

Depuis des mois, je donne des infos. Je fais ce que je peux pour avertir mes semblables, ma famille, mes amis, mes compatriotes. Je le fais peut-être avec maladresse, peut-être avec un manque de pédagogie, peut-être un manque de psychologie, mais toujours avec sincérité. Mais ce combat me fatigue et m’épuise mentalement. J’ai fini par comprendre que mon combat est vain et dérisoire devant la puissance maléfique de ceux qui nous attaquent. Je suis même en train de perdre l’estime de certains de mes amis et de ma famille proche. Mon propre fils m’insulte et me méprise. C’est un comble ! La cote d’alerte est dépassée. Malgré le fait que je ne sois pas le seul dans ce combat, que des centaines de milliers de personnes défilent tous les samedis, en France, contre cette véritable tyrannie sanitaire, je suis prêt à démissionner, à jeter l’éponge, comme on dit. Je veux préserver ma santé mentale, et ce qui me reste de petits bonheurs à vivre simplement.

Mais le destin veille ! Comme toujours ! A chaque fois que j’ai envie de baisser les bras, il me flanque un coup de pied aux fesses très douloureux. Aujourd’hui, il prend la forme d’une vidéo, une de plus !

Des rabbins israéliens interrogent un médecin juif new-yorkais sur cette pandémie.

Et ce que révèle cet homme, à cette assemblée de religieux, est absolument terrifiant. Même s’il reprend des informations que nous, les « résistants », nous connaissons depuis longtemps, la synthèse qu’il en fait nous dresse un tableau proprement apocalyptique, presque au sens biblique du terme. C’est peu de le dire.

Ce médecin nous parle d’un véritable holocauste qui est en train de se produire sur toute la planète.

Et en matière d’holocauste, on peut dire que des Juifs savent de quoi il est question. On peut leur faire confiance. Une autre Juive, Vera Sharav, rescapée des camps de la mort, nous disait clairement  que ce qui se passe aujourd’hui, lui rappelait exactement ce qu’elle avait vécu dans son enfance. On ne peut êre plus clair.

Voilà pourquoi, je lance mon petit cri d’alerte, sûrement dérisoire, comme le « colibri et sa goutte d’eau pour éteindre l’incendie ». Mais j’ai fait mon devoir. A vous de faire le vôtre.

 L'HOLOCAUSTE EN MARCHE