Affichage des articles dont le libellé est New-York 1997. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est New-York 1997. Afficher tous les articles

vendredi 4 décembre 2020

UNE MYSTÉRIEUSE CONVERSATION

En cette période de cauchemar sanitaire, largement fabriqué par une oligarchie mafieuse de la finance et de l’industrie pharmaceutique, je tombe sur cette petite « perle » cinématographique et philosophique. Une étrangeté de film américain tourné par un réalisateur français, Louis Malle, en 1981, et intitulé : «My dinner with André ».


Les propos ,tenus par le principal narrateur, qui ont près de quarante ans, sonnent comme une terrifiante musique à nos oreilles. 

Dans ceux-ci, il parle de New-York comme d’une prison. Cela me rappelle le film de science-fiction : « New-York 1997 » où cette ville était transformée en un immense centre pénitentiaire. Film de John Carpenter sorti en 1981. Tiens ? La même année ?  

Personnellement, j’ai toujours détesté ces « termitières géantes » pour êtres humains que sont ces villes géantes qui poussent à travers la planète, alors que d’autres ne veulent pas vivre autre part ! 

Et dans le film de Louis Malle, le narrateur nous en donne une effroyable et plausible signification. C’est qu’il voit l’humanité disparaître complètement, ou plus exactement, se transforme en une masse de robots sans âme. C’est ce qu’imaginait déjà un certain H. G. Wells dans « La machine à explorer le temps » ! Et par un hasard extraordinaire, cet auteur anglais était aussi partisan d’un eugénisme assez scandaleux. Comme tout se rejoint étrangement ? N’est-ce pas ? Mais je vous laisse à cette étrange conversation où l’espoir n’a pas complètement absent. 

(Un cauchemar Orwellien My dinner with Andre 1981


New-York 1997

https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=253.html


BRIGITTE OU LA VENGEANCE POSTHUME DE GABRIELLE ?

  Qui se souvient de Gabrielle Russier ? Sûrement pas les moins de quarante ans ! C’est bien regrettable. Ils auraient appris le destin trag...