C’est tellement inattendu, tellement scandaleux, tellement honteux, que sur le coup, j’ai cru à une fausse information, comme on en constate, hélas, bien souvent. J’ai attendu. J’ai vérifié. Et là, mon écœurement est à son comble. Comme l’avait déjà si bien dit Talleyrand : « C’est pire qu’un crime, c’est une faute !
Mais je n’avais pas compris toute l’intelligence, toute la subtilité, tout l’esprit, tout le dernier mépris d’un homme injustement humilié, injustement calomnié par un pouvoir mafieux, avec la complicité de certains de ses collègues dévoyés et corrompus. Alors, il leur a fait ce dernier pied-de-nez pour qu’ils ne puissent pas se servir de son décès pour alimenter leur douteuse besogne de faux journalistes, mais de vrais agents de propagande d’une entreprise mafieuse de l’industrie pharmaceutique apatride et criminelle.
Nul doute que le professeur Montagnier sera honoré dans l’avenir comme il le mérite !
Nul doute que les femmes et les hommes qui l’ont côtoyé, servi, admiré, aimé, lui rendront l’hommage unanime qu’il mérite, et qu’ils le porteront toujours dans leur cœur.Mais nul doute que les salopards, les imbéciles, les fourbes, les calomniateurs qui lui ont rendu sa fin de vie professionnelle douloureuse et triste, le paieront bientôt très cher devant la colère du peuple français.Luc Montagnier va rejoindre ainsi la cohorte de tous nos héros français qui ont bâti la gloire de la France et de l’humanité toute entière.
