mardi 20 janvier 2015

Les États-Unis ; un parfait « État-voyou » ?

Pour ne pas commettre d'accusation mensongère, imprudente ou calomniatrice, il est toujours nécessaire de bien employer les termes adéquats et parfaitement bien définis.
C'est ainsi que je trouve sur l'encyclopédie en ligne cette définition de « l'État-voyou » :

L'expression d'état voyou renvoie à l'idée d'un État qui ne respecte pas les lois internationales les plus essentielles, organise ou soutient des attentats, ou viole de manière systématique les droits les plus élémentaires de l'être humain. La catégorie combine plusieurs diagnostics : militaire, géopolitique, politique ou encore économique.

L'appellation a été utilisée dans un premier temps par le gouvernement des États-Unis et certains de leurs alliés, comme le Royaume-Uni. Les accusations principales contre ces États sont l'appui, réel ou présumé, qu'ils accordent au terrorisme international et la possession ou l'ambition de posséder des armes de destruction massive.

-Un État qui ne respecte pas les lois internationales les plus essentielles. Tiens ? Nous n'en avons pas un magnifique exemple, tout récemment, sous les yeux ?

Alors un petit rappel historique est nécessaire : le 10 décembre 1984 est signée une convention internationale contre la torture :

La Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants est un traité de droit international de promotion des droits de l'homme adopté sous l'impulsion des Nations unies dans le but d'empêcher la torture partout dans le monde.

Elle définit la torture comme «tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales, sont intentionnellement infligées à une personne aux fins notamment d’obtenir d’elle ou d’une tierce personne des renseignements ou des aveux, de la punir d’un acte qu’elle ou une tierce personne a commis ou est soupçonnée d’avoir commis, de l’intimider ou de faire pression sur elle ou d’intimider ou de faire pression sur une tierce personne, ou pour tout autre motif fondé sur une forme de discrimination quelle qu’elle soit, lorsqu’une telle douleur ou de telles souffrances sont infligées par un agent de la fonction publique ou tout autre personne agissant à titre officiel ou à son instigation ou avec son consentement exprès ou tacite. Ce terme ne s’étend pas à la douleur ou aux souffrances résultant uniquement de sanctions légitimes, inhérentes à ces sanctions ou occasionnées par elles»1.

Cette convention exige des États l'ayant ratifiée qu'ils prennent des mesures concrètes afin d'empêcher la torture à l'intérieur de leurs frontières et leur interdit de renvoyer dans leur pays d'origine des personnes qui risqueraient d'y être torturées. Elle a instauré le Comité de l'ONU contre la torture, chargé de son implémentation effective, et auquel tous les États signataires doivent rendre des rapports concernant la prise en compte du droit international dans leurs législations nationales.


États-Unis : Ronald Reagan présente la convention au Sénat en 1988 et conclut que sa ratification montrera le désir de mettre fin à l'odieuse pratique de la torture. Simultanément, l'Administration propose dix-neuf réserves qui repoussera de six ans sa ratification par le Sénat.

Donc, chacun comprendra que cette convention internationale SIGNEE par le gouvernement US a largement été violée lorsqu' un rapport sénatorial nous a infomé des tortures avérées, commises pas par les agents de la CIA. Circonstances agravantes, ces tortures ont eu lieu dans des prisons secrètes partout dans le monde et principalement en Europe !
Vous auriez pu croire que ceci allait ébranler les institutions américaines et provoquer un « tsunami » politique propre à lésarder toutes les fondations démocratiques de ce pays !
Pas du tout ! Tranquilles comme « Baptiste » les gars ! Même pas mal !
Et que peut-on lire dans un pays devenu le larbin de cet empire cynique, dans une presse couchée et servile ?

Les révélations sur l'utilisation de la torture par la CIA contre des membres présumés d'Al-Qaïda a déclenché de vives protestations partout dans le monde, mais cela ne devrait toutefois pas empêcher l'agence du renseignement américaine de conserver ses prérogatives.
Le rapport du Sénat américain rendu public mardi, qui détaille les mauvais traitements subis par les prisonniers et les mensonges de la CIA, est accablant.

Comme  nous sommes heureux de lire cela dans un journal français! C'est-y pas beau ?
Mais ils s'en tapent, les bougres ! Ils se foutent de nous et de la terre entière !
« Accablant » ? Mais pas pour eux : Rassurez-vous !
Alors résumons par ce triste et désespérant constat :
-Un État qui viole sciemment des lois internationales qu'il a lui même signées.
-Un État dont un des politiciens ment volontairement devant l'assemblée générale de l'ONU
-Un État qui provoque des guerres, des conflits qui font des millions de morts et de déplacés, qui envahit d'autres Etats sur ces mensonges avérés.
-Un État qui organise des attentats sous fausse bannière pour provoquer l'indignation orientée de son peuple.
Sommes-nous pas en droit, à notre tour, de le considérer légitimement comme un ÉTAT-VOYOU ?
Autre conclusion encore plus dramatique et plus effroyable ; plus que le terrorisme islamique promu, propagé, entretenu, financé, armé par des « État-voyous » il existe un autre « terrorisme » encore plus terrifiant et nécessaire à combattre, c'est le « terrorisme d’État » !







jeudi 15 janvier 2015

Le Diable est dans les détails



Cette expression, attribuée à Nietzsche, est très judicieuse pour bien vous expliquez ce qui m'a choqué ce matin.
Alain Bauer, éminent criminologue, spécialiste de sécurité et de lutte antiterroriste, franc-maçon notoire, et membre occasionnel du Bilderberg, nous faisait la « leçon » sur les dramatiques évènements de ces derniers jours. Pour se faire, il évoqua, bien naturellement, le conflit israélo-palestinien. Et c'est là que se glissa le petit « caillou » dans la chaussure de la démonstration. Vous savez, le petit «scrupule » dans le cothurne du légionnaire romain !
Au détour d'une phrase, que j'entendais dans un vague brouillard inattentif, j'ai surpris ce petit mot insignifiant, tout minuscule, presque invisible : « dits » ! Ah ! Il faut que je vous le place dans le contexte pour que vous compreniez mieux ! En parlant de la Palestine notre « frère trois points » s'exclama : « ….les territoires DITS occupés » ! Je sais que certaines subtilités de la langue française peuvent échapper à beaucoup de nos jeunes compatriotes très mal instruits par une éducation nationale en déroute ! Alors on va tenter de rectifier un manque possible.
La signification des  « territoires occupés » est légèrement différente de celle des « territoires dits occupés » ! Dans la première version les territoires sont occupés sans aucun doute possible. C'est une affirmation tranquille qui ne souffre d'aucune autre interprétation. Mais dans la deuxième version, tout est possible ! Ce petit mot, mine de rien, flanque tout par terre ! Il signifie que cette occupation n'est qu'un racontar, peut-être une galéjade ! Pire ! Une rumeur infondée propagée par des esprits dérangés, peut-être malhonnêtes, mais surtout incultes ! Vous saisissez maintenant l'ampleur du problème ?
Monsieur Bauer, qui est fin d'esprit, cultivé, n'a pas prononcé ce mot qui fâche, à la légère, par une « distraction » bien pardonnable. Non ! Non ! C'était un message subliminal lancé à des « amis », à des soutiens que je vous laisse deviner, et qu'il faut beaucoup ménager par les temps qui courent sous peine de graves ennuis!

dimanche 30 novembre 2014

Le veau d’or est toujours debout dans les ateliers du Diable!



Vous remarquez bien que j’ai mis une majuscule à « Diable » ! C’est tout à fait normal quand on parle du Prince des ténèbres, comme on le désigne ainsi dans la Bible. Les esprits « forts », les rationalistes de tous poils, la crème du monde intellectuel occidental, l’ont éliminé depuis longtemps de leur champ de vision, de leur préoccupation de recherche, et même complètement de leur esprit.  
On le range désormais dans l’armoire des fantasmes ridicules, des contes à dormir debout, des paranoïas de quelques attardés mentaux, des fantasmes de pauvres hères incultes et déboussolés, et bien sûr, pour terminer cette liste non exhaustive, de ces éternels naïfs que sont les croyants, les religieux. Quelle erreur monumentale ! Tous ces esprits « supérieurs » ont oublié une autre maxime de la Bible :
« La meilleure ruse du Diable est de faire croire qu’il n’existe pas ! » Pardonnez-moi cette longue introduction, mais c’est parce que je viens  de découvrir qu’  « Il » existe bel et bien, ce « Prince des Ténèbres ! »
Il a même élu domicile dans une grande métropole qui se nomme New York.  Il y a mis aussi son « atelier » ! Là, où il fourbit ses plus sombres complots, ses plus effroyables mauvaises actions. Elles sont tellement énormes, ces mauvaises actions, qu’elles en sont quasiment invisibles ! Alors je vais tenter de vous faire partager ce que j’ai découvert avec un certain dégoût, du haut de ma crédulité vulgaire de pauvre citoyen et qui est tombée en miette, dans un vertige proche de l’ivresse. Oui ! Cet « atelier » il faut que je vous le désigne tout de suite, c’est Wall Street. Car tout « Prince » a ses serviteurs, et le Diable a les siens : les banquiers !
Comme je pressens que certains ne vont pas me croire, et songent déjà à s’éloigner sur la pointe des pieds, on va revenir à des choses bien concrètes, bien « terre à terre » pour les rassurer sur ma santé mentale.
D’ailleurs, il n’est pas interdit d’y mêler un peu de plaisir musical, en faisant appel au génie d’un grand compositeur français : Charles Gounod. Il a composé un magnifique opéra « Faust » où le prince des ténèbres y a toute sa place. Il s’y fait appeler Méphistophélès, mais c’est bien Lui. Dans cet opéra, il y a un air fabuleux (parmi d’autres encore plus célèbres) qui s’intitule : « le veau d’or » ! Il est toujours chanté par une belle basse. Mais écoutez bien ce qu’il chante et que je vous retranscris ici :

MEPHISTOPHELES

Le veau d’or est toujours debout
On encense sa puissance
D’un bout du monde à l’autre bout
Pour fêter l’infâme idole
Rois et peuples confondus,
Au bruit sombre des écus,
Dansent une ronde folle
Autour de son piédestal..
Et Satan conduit le bal..

CHŒUR
Et Satan conduit le bal

MEPHISTOPHELES

Le veau d’or est vainqueur des dieux
Dans sa gloire dérisoire
Le monstre abject insulte aux cieux,
Il contemple, Ô rage étrange !
A ses pieds le genre humain
Se ruant, le fer en main
Dans le sang et dans la fange
Où brille l’ardent métal !
Et Satan conduit le bal !

CHŒUR
Et Satan conduit le bal 

Eh oui ! « Le veau d’or est toujours debout » ! Nous savons tous qu’il se porte, d’ailleurs, de mieux en mieux. Partout dans le monde, ses « églises » où l’on célèbre son culte, se nomment Down Jones, Cac 40, Nikkei, FTSE, DAX, etc.. !
Certains commencent peut-être à s’amuser de cette tournure un peu romantique et légère par laquelle j’enrobe cette réalité monstrueuse, mais ce que j’ai découvert ne prête absolument pas à sourire! Je vous prie de le croire.
On a appelé le vingtième siècle, le « siècle de fer ». Le monde a vécu des conflits dont l’ampleur, les cruautés, par les victimes et les destructions engendrées, ne s’étaient jamais vues, dans toute l’histoire de l’humanité. Aux conflits déjà sanglants, se sont ajoutés les horreurs indicibles fabriquées par des idéologies meurtrières de fous déments et paranoïaques contre leurs populations.  Pour certaines, ce fut littéralement vécu comme « l’enfer sur terre » !
Mais ce que j’ai appris, et que je vais tenter de vous apprendre, c’est que l’intégralité de toutes ces monstruosités incommensurables ont été sciemment programmées, voulues, organisées, par une pieuvre repoussante : la haute finance, le milieu bancaire américain.
C’est tellement énorme que les âmes les plus solides vont se cabrer devant cette réalité inacceptable. Et je comprends parfaitement bien qu’elle puisse être « inacceptable ».
La révolution bolchevique, le nazisme, ces deux fléaux infernaux, au sens vrai du terme, qui peut croire, qui peut admettre qu’ils sont les fruits vénéneux d’une oligarchie bancaire tapie dans les bas-fonds de Wall Street ? Qui peut le croire, et surtout l’admettre ?
Oui ! C’est même tellement effrayant que je n’ose pas aller titiller la queue de ce Diable là !
Alors ? A votre avis ? Dois-je me lancer dans cette terrible aventure ? C’est à vous de me l’écrire !


 Répétition du Faust de Gounod avec José Van Dam dans le "veau d'or"

lundi 3 novembre 2014

L’UE sera l’URSS de demain !



Oh !  Ce n’est pas moi qui le proclame, mais un homme d’expérience dont je vous ai parlé dans ce blog :
Il s’appelle Vladimir Boukovski !
Son passé parle pour lui. C’est un homme d’expérience puisqu’il a été un dissident soviétique et qu’il a passé 12 ans dans un hôpital psychiatrique. C’est vous dire s’il sait reconnaître ce qu’est une dictature, une tyrannie. Comme ses millions de compatriotes, il y a « nagé » dedans pendant des décennies ! Nous connaissons tous aussi, Soljenitsyne, et son « Archipel du goulag ».
Alors ce qu’il dit dans cette vidéo, que je vais vous montrer, est à écouter très attentivement. Ceci devrait tuer définitivement toute illusion (s’il en reste encore !)  sur ce que sont en train de nous fabriquer nos politiciens au sujet de l’Europe de Bruxelles. Beaucoup d’entre vous le soupçonnaient depuis longtemps.
Nous avions déjà  appris que cette « pétaudière » anti-démocratique avait été un beau cadeau empoisonné de la part de nos « amis » américains. Un beau « boulet » bien fabriqué pour nous détruire à petits feux, et faire de tous les peuples européens une masse impuissante de 400 millions de « prospects » bons à …tondre ! 
Mais ce que Boukovski nous révèle est encore plus terrifiant ! Oui, l’Europe de Maastricht, de Monnet, de Schumann est en train de devenir exactement ce que fut l’Union soviétique de triste mémoire ! Le parallèle est absolument hallucinant et impitoyable dans sa vérité crue.
Ceci nous offre quand même un bel espoir ; comme sa sœur de l’est, cette « pétaudière » improbable est vouée à son échec inéluctable. Seulement, si nous pouvions hâter sa chute d’une manière prématurée,  nous éviterions beaucoup de souffrances à des millions de gens et surtout à nos enfants.

"J"ai vécu dans votre futur": 



mardi 7 octobre 2014

"La France ne peut être la France sans la grandeur." Charles De Gaulle (mémoires de guerre: l'appel)

Aujourd'hui, en ouvrant  un livre de De Gaulle qui dormait dans ma bibliothèque, je tombe sur les premiers mots du chapitre de "l'Appel". Et tout de suite mon cœur s'embrase! Je comprends immédiatement que De Gaulle ne fut pas seulement un grand homme d’État, mais aussi, un écrivain de génie.
Oui! Il faut être un génie de l'écriture pour que votre lecteur soit immédiatement emporté par les mots qui vous transportent au-delà de votre petite destinée, parfois médiocre, vers un destin collectif grandiose et sublime!
Si la France ne peut-être elle-même sans la grandeur, je vous laisse imaginer le triste sort qui est le sien, aujourd'hui.
Ne nous laissons pas envahir par le défaitiste comme nos parents en 1940. Mais recherchons dans les paroles flamboyantes de notre grand aîné, l'espoir qui remettra en selle ce toujours grand et glorieux pays:
LA FRANCE.
Lisons-le avec respect: 



Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France. Le sentiment me l’inspire aussi bien que la raison. Ce qu’il y a, en moi, d’affectif imagine naturellement la France, telle la princesse des contes ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une destinée éminente et exceptionnelle. J’ai d’instinct, l’impression que la Providence l’a crée pour des succès achevés ou des malheurs exemplaires. S’il advient que la médiocrité marque, pourtant, ses faits et gestes, j’en éprouve la sensation d’une absurde anomalie, imputable aux fautes des Français, non au génie de la patrie. Mais aussi, le côté positif de mon esprit me convainc que la France n’est réellement elle-même qu’au premier rang ; que, seules, de vastes entreprises sont susceptibles de compenser les ferments de dispersion que son peuple porte en lui-même ; que notre pays, tel qu’il est, parmi les autres, tels qu’ils sont, doit, sous peine de danger mortel, viser haut et se tenir droit. Bref, à mon sens, la France ne peut être la France sans la grandeur.

mardi 30 septembre 2014

La guerre des psychopathes


Oui, les psychopathes sont en action! Et ceci depuis le 11 septembre 2001! Coup d’État secret que personne n'a compris en Occident! Nous sommes maintenant les PRISONNIERS d'une dictature invisible mais bien présente; celle d'un empire impitoyable de la finance, des banquiers et de l'industrie de l'armement US! Les VRAIS TERRORISTES sont nos dirigeants politiques que nous avons eu l'imprudence d'élire! 
Je ne suis pas le seul à le proclamer et à le croire! De nombreuses voix s'élèvent pour crier ce scandale qui cherche à nous détruire. 
Il faut impérativement que vous lisiez cet article pour que vous n'ayez plus le droit de dire que vous ne "saviez" pas! Comme pour les camps d'extermination nazis de triste mémoire! 
Il y a des moments dans l'existence où l'on n'a plus le droit à l'ignorance, parce que celle-ci devient de la COMPLICITE de crimes!
Je refuse que nos dirigeants politiques nous entraînent dans des conflits armés, dans des actions guerrières sans notre autorisation formelle, par la voix du peuple, et non pas uniquement ses représentants! Nous sommes aliénés, nos médias nous trompent, complices de ces dirigeants indignes qui nous trahissent et trahissent le peuple français. Nous sommes victimes d'une propagande honteuse et mensongère qui ne nous dit pas l'entière vérité sur tous les enjeux des conflits du Moyen-Orient.
L'article que je vous propose de lire vous en dira encore plus que je ne pourrai le faire.

Psychopathes en action : Syrie, la nouvelle croisade 

jeudi 31 juillet 2014

Laissez Jean Jaurès en paix !



Toute la cohorte des hypocrites et des faux culs habituels va se précipiter, la corbeille de fleurs sur les bras, et le cynisme dans le cœur pour honorer un homme qu’elle a trahi mille fois !
Spectacle affligeant !
Cet homme est mort en martyr pour une cause qu’il défendait avec courage : la paix !
Nous allons commémorer pendant quatre ans cette longue boucherie imbécile qui ravagea l’Europe et le monde. Vous allez assister à une avalanche de documentaires, de reportages, de livres, etc.. ! Mais il y a UNE SEULE CHOSE que l’on vous cachera pendant toute cette période : les VRAIS responsables de ce drame épouvantable, et surtout les motifs secrets mais bien réels qui ont poussé certains « monstres cachés » à provoquer ce conflit.
Certes, pour la seconde guerre mondiale, cela a été très facile. Les  coupables étaient bien « cernés », bien identifiés. Leur chef s’est suicidé, et les principaux coupables pendus après un bon procès bien orchestré et médiatisé à souhait. Mais quid de la première? 
Qui a été condamné? Qui a subi une opprobre, même posthume, même historique  à la suite de cette catastrophe guerrière qui aurait dû être évitée ?
Où sont les historiens qui pourraient nous désigner sérieusement  ceux qui ont été les vrais artisans de ce massacre et qu’il serait sage de dénoncer comme tels, (au moins pour l’histoire) afin que ceci ne se reproduise pas ?
Il n’y en a qu’un, à ma connaissance qui a osé ! C’est Henri Guillemin. Et ce qu’il nous révèle n’est pas du tout « joli, joli ». Vous en douteriez ?
En gros, on comprend que les « possédants » les riches, la grande bourgeoisie, craignant les revendications ouvrières et un grand désordre social en gestation, a crée VOLONTAIREMENT ce conflit pour « purger » la société de ses éléments potentiellement les plus virulents ! Pur fantasme n’est-ce pas ? Cela va de soi !
En attendant ; laissez Jean Jaurès reposer en paix !

Le meilleur hommage de Jaurès par Henri Guillemin :


samedi 26 juillet 2014

PAS VOUS ! PAS CELA !



 Né juste après la guerre, et durant toute ma vie, j’ai vécu avec le souvenir des atrocités commises par les nazis, et que les Juifs nomment « Shoah ». Depuis l’âge de « raison », cela fait donc une bonne soixantaine d’année que je « baigne » littéralement, comme des millions de mes compatriotes, dans le souvenir de l’holocauste. J’ai visionné, de gré ou de force, une quantité phénoménale de documentaires, de films à ce sujet.  je me suis coltiné « Nuit et brouillard » un nombre de fois incalculable . « Exodus » d’Otto Preminger n’a plus de secret pour moi. Il faut dire que Paul Newman était si « fringant » !  Et je ne vous parle pas des milliers de débats télévisuels. Pas une seule année, pas un seul mois, et même presque pas un seul jour, sans que ce drame ancien, ne soit évoqué d’une manière ou d’une autre. Et comme si tout cela ne suffisait pas, le législateur nous a pondu une loi  pour nous obliger à ne pas « oublier » cette tragédie qu’il est donc « obligatoire » et recommandé  de ne pas oublier sous peine de fortes amendes et même de prison !
Ouf !
C’est donc peu de dire que cette communauté martyre est entourée d’une « auréole de sainteté » que rien ne doit troubler, sous peine de subir l’infamie d’un antisémitisme hors la loi.
Voilà pourquoi ce qui se passe à Gaza est absolument immonde, au-delà de ce que tout qualificatif humain peut décrire.
Car je vous le dis, je vous le HURLE : PAS VOUS ! PAS CELA !
Comment des gens dont les parents, les grands-parents, ont subi le plus horrible des crimes contre l’humanité, peuvent-ils commettre des atrocités pareilles sur une AUTRE communauté innocente ?
S’il y a bien un SEUL peuple, une seule communauté au monde à qui il est interdit de faire subir le genre d’atrocités que nous voyons à Gaza, ce sont bien les Israéliens. 
Les fils des martyrs du ghetto de Varsovie ont-ils oublié ce qu’ont subi leurs pères ?
Sont-ils devenus « amnésiques » à ce point-là ?
Il est une vérité plus épouvantable pour la conscience de ce peuple qui « s’oublie » ; c’est qu’après avoir été un peuple « martyr », il est en train de devenir un peuple « bourreau » !
Mais rassurez-vous, je ne commettrai pas d'amalgame, car ce qui  "sauve" cette communauté, c'est la voix indignée de nombreux Juifs, partout dans le monde qui ont la même colère que moi pour ce qui se passe sur ce petit bout de territoire si loin de la France.  
Car notre colère n'est pas chrétienne, ni musulmane, ni même juive, elle est tout simplement HUMAINE!
Alors pas VOUS ! Pas ça !

mardi 1 juillet 2014

Rendez-nous Philippe IV le bel !



Pourquoi ce cri du cœur surprenant et sûrement incongru pour la plupart d’entre vous ?
C’est que ce très grand roi de France su accomplir cette prouesse digne du treizième travail d’Hercule : abattre la finance internationale qui tentait d’étouffer le pouvoir royal, c'est-à-dire, à cette époque, le pouvoir politique !
Et qui était le « FMI » de l’époque ? Vous en avez sûrement entendu parler ; il s’agissait de ces fameux « templiers ». Cet ordre monastique et guerrier, alors sur le déclin du point de vue strictement militaire, s’était judicieusement reconverti dans la finance et la protection des richesses des nobles fortunés et des royaumes. Pour parler crûment, il était devenu richissime.
On lui prête même la création des chèques bancaires et des lettres de change.
Cet ordre était devenu un « état dans l’état ». Certes d’une grande probité, d’une grande honnêteté qui faisait sa réputation. L’inconvénient majeur, c’est qu’il gérait aussi les finances du royaume de France. Et là, on touche un point crucial, car notre bon roi Philippe, pour les besoins de sa politique était obligé d’en passer par lui. Et ça, il ne pouvait plus le tolérer. Il ne pouvait y avoir, dans un royaume, ou un état qui se respecte « deux pouvoirs » ! Il y en a un qui devait (et qui doit) s’effacer devant l’autre. Voilà pourquoi, ce très grand roi (j’insiste bien là-dessus !) ordonna la première et la plus vaste opération policière coordonnée du royaume de France le 13 octobre 1309. Ces pauvres templiers furent torturés, bannis, chassés, et tout leurs biens confisqués (du moins, en France !). Qui n’a pas vu les « Rois Maudits » de Maurice Druon dont la télévision nous en donna une série sublime, avec un Robert d’Artois flamboyant jouer par ce merveilleux acteur, Jean Piat ? Qui ne les a pas plaint, ces pauvres moines si injustement pourchassés. Pourtant, au risque de passer pour un affreux cynique digne d’un Machiavel de banlieue, je l’affirme avec force et sans l’ombre d’un remord : Philippe Le Bel a eu parfaitement raison. Il a choisi les intérêts supérieurs de son royaume,  à la « morale ordinaire » ! Il a terrassé à temps une « pieuvre » qui, très naturellement, aurait pris le dessus sur le pouvoir politique du Roi, et par ricochet aurait servi les intérêts de la papauté, avec laquelle les templiers étaient soumis hiérarchiquement. Ce grand roi, en fin politicien, en vrai patriote, en vrai homme d’état, ne supportait que la France fût soumise à une autorité étrangère, au travers du pouvoir financier, même garanti par la foi religieuse.
Un autre grand roi de France su, lui aussi, faire preuve de la même autorité, du même sens de l’état contre la finance corruptrice du pouvoir : Louis XIV ! Lorsque celui-ci fit enfermer l’intendant des finances Nicolas Fouquet. Ce pauvre Fouquet, à l’instar de nos templiers n’était pas forcément aussi noir et aussi corrompu que l’histoire nous l’a décrit, mais il eut l’immense « tort » de se mettre en travers du pouvoir politique représenté par le Roi ( L’ETAT, c’est moi !) ! Je ne sais pas si vous comprenez là où je veux en venir ?
Si ? Admirez notre époque où la finance internationale fait la loi, ou nos dirigeants politiques ne sont plus que des larbins soumis à cette même finance ?
Cette monarchie française, si décriée par nos républicains, su faire une chose que nos gouvernements n’arrivent même plus à faire : mettre au pas la puissance financière pour servir les vrais intérêts du pays et des Français !
Depuis la révolution française, nous assistons à une reculade toujours plus important de l’autorité politique devant la puissance financière.
Dernier avatar : la création de la « Banque de France » sous Napoléon 1° !
Ah ! Le grand stratège, celui que beaucoup trop de gens admirent encore, regardez, prenez connaissance de sa soumission à ces banquiers cupides qui commençaient déjà leur conquête du vrai pouvoir ! Pas celui d’Austerlitz ou de Wagram, mais celui du Palais Brongniart, du FMI et de la FED ! 
Visionnez, toute affaire cessante, la vidéo de l'historien Henri Guillemin sur "la naissance de la Banque de France"!



Pitié mon Dieu ! Rendez-nous Philippe IV le Bel !




mercredi 28 mai 2014

La dissidence anti-occidentale



La fin du règne de l’État soviétique s’était illustrée par la fuite, de ce que les journalistes occidentaux nommèrent, les "dissidents". Tous ceux qui fuyaient l’enfer du «paradis» des travailleurs. Pour être encore plus clair, voici la définition exacte de la dissidence et des dissidents:




Un dissident est une personne qui se sépare d'une communauté ou du parti dont il était membre. Il ne reconnaît plus la légitimité de l'autorité (notamment politique) à laquelle il devait se soumettre jusqu'alors.
 Le terme de « dissident » est ainsi utilisé pour qualifier une personne qui conteste de façon plus ou moins radicale le système politique du pays dont elle est résidente.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dissidence

 Le plus célèbre fut Soljénitsyne. Mais il en eu bien d’autres. Et pas que des écrivains. Moi, je me souviens du danseur Noureïev qui devint directeur du ballet de l’opéra de Paris. Il y eut Boukovski et un certain  Alexandre Zinoviev. C’est ce dernier qui va nous intéresser. Pourquoi? Parce qu’après avoir fui le régime le plus effroyable que nous connaissions à l’époque, avoir fui la dictature la plus sauvage, la plus impitoyable, il a cru trouver à l’Ouest,la liberté, le bonheur de vivre enfin retrouvé.
Erreur tragique! Il l’a compris trop tard!

Dans un article intitulé Bref historique de la vie et de l'oeuvre d'Alexandre Zinoviev, Fabrice Fassio, qui travaille depuis 1976 sur l'oeuvre du sociologue russe, note : « À peine l'Union soviétique s'est-elle effondrée que de nouveaux slogans apparaissent et sont diffusés à l'échelle de la terre entière. La mondialisation, la globalisation, le village planétaire deviennent des mots à la mode, en même temps que se renforce la puissance américaine désormais sans rivale. Le bombardement de la Serbie et l'intervention américaine en Irak est interprété par Alexandre Zinoviev comme le signe de la volonté hégémonique des Etats-Unis qui utilisent à leur guise leurs forces armées dans un monde unipolaire. La domination américaine se conjugue avec d'autres phénomènes tels que la puissance des organisations financières internationales, le pouvoir économique des firmes transnationales ou bien une culture et une idéologie vantant dans le monde entier les mérites du mode de vie occidental en général, et américain en particulier. L'américanisation de l'Europe occidentale fait aussi partie des phénomènes qui préoccupent au plus haut point le philosophe russe. Des ouvrages tels que La Grande Rupture ou L'Occidentisme seront publiés en français, mais d'autres livres, La Fourmilière Globale ou bien La Tragédie Russe par exemple, ne le seront pas ».

Voilà un homme qui a connu la dictature, qui SAIT ce qu’est une absence de liberté, qui a fui son pays pour ces raisons graves et qui nous dit que dans cet occident que nous croyons «libre»  non seulement ne l’est pas, mais pire, il se transforme tout doucement vers une tyrannie encore plus inhumaine!
Alexandre Zinoviev est revenu mourir à Moscou, en 2006, sa patrie enfin délivrée d’une tyrannie, mais gravement menacée par une autre: celle du monde occidentale aux mains des tyrans bancaires et sous le bras armé des USA.
Allons nous tous devenir de potentiels «dissidents», comme Boukovski, comme Soljénitsyne, comme Zinoview? Mais au lieu de fuir à l’ouest, devrons-nous notre liberté à la Russie de Poutine? 
Liens : http://www.esprit-europeen.fr/entretiens_zinoviev.html
 http://www.zinoviev.ru/fr/zinoviev-biographie.html

BRIGITTE OU LA VENGEANCE POSTHUME DE GABRIELLE ?

  Qui se souvient de Gabrielle Russier ? Sûrement pas les moins de quarante ans ! C’est bien regrettable. Ils auraient appris le destin trag...