jeudi 30 mai 2019

WALL STREET OU L'ATELIER DU DIABLE

Vous remarquerez que j’ai bien mis une majuscule à « Diable » ! C’est tout à fait normal quand on parle d’un  Prince, celui des ténèbres, comme le désigne ainsi la Bible. Les esprits
« forts », les rationalistes de tous poils, la crème du monde intellectuel occidental, l’ont éliminé depuis longtemps de leur champ de vision, de leur préoccupation de recherche, et même complètement de leur esprit.
On le range désormais dans l’armoire des fantasmes ridicules, des contes à dormir debout, des paranoïas de quelques attardés mentaux, des fantasmes de pauvres hères incultes et déboussolés, et bien sûr, pour terminer cette liste non exhaustive, de ces éternels naïfs que sont les croyants, les religieux. Quelle erreur monumentale ! Tous ces esprits « supérieurs » ont oublié une autre maxime de la Bible :
« La meilleure ruse du Diable est de faire croire qu’il n’existe pas ! »  Il » existe pourtant bel et bien, ce « Prince des Ténèbres ! »
Il a même élu domicile dans une grande métropole qui se nomme New York.  Il y a mis aussi son « atelier ! ». Là, où il fourbit ses plus sombres complots, ses plus effroyables mauvaises actions. Elles sont tellement énormes, ces mauvaises actions, qu’elles en sont quasiment invisibles ! Alors je vais tenter de vous faire partager ce que j’ai découvert avec un certain dégoût, du haut de ma crédulité vulgaire de pauvre citoyen, et qui est tombée en miette, dans un vertige proche de l’ivresse. Oui ! Cet « atelier » il faut que je vous le désigne tout de suite, c’est Wall Street. Car tout « Prince » a ses serviteurs, et le Diable a les siens : les banquiers !
Comme je pressens que certains ne vont pas me croire, et songent déjà à s’éloigner sur la pointe des pieds, on va revenir à des choses bien concrètes, bien « terre à terre » pour les rassurer sur ma santé mentale.
D’ailleurs, il n’est pas interdit d’y mêler un peu de plaisir musical, en faisant appel au génie d’un grand compositeur français : Charles Gounod. Il a composé un magnifique opéra « Faust » où le prince des ténèbres y a toute sa place. Il s’y fait appeler Méphistophélès, mais c’est bien Lui.
Eh oui ! « Le veau d’or est toujours debout » ! Nous savons tous qu’il se porte de mieux en mieux. Partout dans le monde, ses « églises » où l’on célèbre son culte, se nomment Down Jones, Cac 40, Nikkei, FTSE, DAX, etc.. !
Certains commencent peut-être à s’amuser de cette tournure un peu romantique et légère par laquelle j’enrobe cette réalité monstrueuse, mais ce que j’ai découvert ne prête absolument pas à sourire! Je vous prie de le croire.
On a appelé le vingtième siècle, le « siècle de fer ». Le monde a vécu des conflits dont l’ampleur, les cruautés, par le nombre des victimes et les destructions engendrées, ne s’étaient jamais vues, dans toute l’histoire de l’humanité. Aux conflits déjà sanglants, se sont ajoutés les horreurs indicibles fabriquées par des idéologies meurtrières de fous déments et paranoïaques contre leurs populations.  Pour certaines, ce fut littéralement vécu comme
 « l’enfer sur terre » !
Mais ce que j’ai appris, et que je vais tenter de vous apprendre, c’est que l’intégralité de toutes ces monstruosités incommensurables ont été sciemment programmées, voulues, organisées, par une pieuvre repoussante : la haute finance, le milieu bancaire anglo-américain.
C’est tellement énorme que les âmes les plus solides vont se cabrer devant cette réalité inacceptable. Et je comprends parfaitement bien qu’elle puisse être « inacceptable ».
La révolution bolchevique, le nazisme, ces deux fléaux infernaux, au sens vrai du terme, qui peut croire, qui peut admettre qu’ils sont les fruits vénéneux d’une oligarchie bancaire tapie dans les bas-fonds de Wall Street ? Qui peut le croire, et surtout l’admettre ?
Oui ! C’est même tellement effrayant que je n’ose pas aller titiller la queue de ce Diable-là !

Le veau d’or est toujours debout
On encense sa puissance
D’un bout du monde à l’autre bout
Pour fêter l’infâme idole
Rois et peuples confondus,
Au bruit sombre des écus,
Dansent une ronde folle
Autour de son piédestal..
Et Satan conduit le bal..

mercredi 29 mai 2019

LE CHAGRIN D'UN "RÉFUGIÉ" POLITIQUE!

Non! Je ne suis pas Boukovski, ni Soljenitsyne! C'est presque pire! Je suis prisonnier politique dans mon propre pays. Edgar Quinet l'a très bien résumé: "Le véritable exil n'est pas d'être arraché de son pays,; c'est d'y vivre et de n'y rien trouver de ce qui le faisait aimer". Depuis dimanche, je suis vraiment désespéré. Je ne pensais vraiment pas que mes compatriotes étaient aussi cons, aussi "veaux" comme le pensait De Gaulle. Il n'y a même aucune excuse à leur connerie et à leur égoïsme. Il me revient encore une autre citation encore plus pertinente de Joseph de Maistre qui avait l''excuse d'être Suisse et qui nous détestait; "Jamais on ne vit nation plus facile à tromper, plus difficile à détromper, et plus puissante à tromper les autres." Depuis dimanche, j’en suis aussi convaincu. C’est pourquoi je ferme définitivement le robinet à conneries des merdias offficiels. Je me refuse même à écouter les moindres infos venant de ces officines  de propagande d’un pouvoir mafieux que nos « ‘cons-patriotes » ont l’air de bien supporter puisque qu’aucune révolte ne semble poindre à l’horizon. J’ai été gilet jaune. J’ai vu ce petit peuple de désespérés et d’ oubliés, mais j’ai surtout entendu la bêtise à front de taureau de certains de mes proches et de mes amis qui les détestaient et les méprisaient parce qu’ils osaient, ces GUEUX, ces va-nu-pieds, bousculer leur petit confort de futurs esclaves de la finance. Cette belle finance qui est en train de bouffer leur âme, leur portefeuille, leur liberté, qui est en train de devenir leur maîtresse absolue. Cette finance qui vient de mettre un pantin au pouvoir pour mieux les asservir. Cette finance qui leur bâtit une magnifique forteresse-prison nommée « Union européenne » et dont ils élisent les geôliers avec une totale et parfaite naïveté. Ils me font penser à ces rats que le joueur de flûte emmène se noyer au son de son pipeau. Voilà pourquoi je suis désespéré. Je me suis enfui d’un autre piège à rats : facebook ! Ce faux réseau social qui nous fait croire à notre liberté d’expression mais qui nous enferme, en réalité, dans une cage invisible grâce à de puissants algorithmes qui nous font croire que nous avons beaucoup d’amis. Le monde de George Orwell avance à grands pas, en espérant qu’il ne soit pas déjà là ! Un seul bastion peut nous sauver de ce futur cauchemar, la Russie ! C’est d’autant plus paradoxal que pendant la plus grande partie de ma vie j’avais appris à détester l’Union soviétique.
Mais mes connaissances historiques récentes m’ont fait comprendre que s’il y avait un seul peuple sur terre pour comprendre ce qu’est vraiment la tyrannie et le bonheur de la liberté retrouvée, c’est bien la sainte Russie, la Russie éternelle. ! Celle que beaucoup de mes «cons-patriotes » n’aiment pas , ne connaissent pas, croie,nt toujours dans leur ignorance crasse, qu’elle est encore celle de Brejnev. Cette Russie qui nous a pourtant beaucoup aimé, admiré, qui nous a donné tant de chef d’œuvre littéraires, que nous avons envahie comme des soudards, mais qui ne nous en a jamais voulu. Enfin je terminerai sur une dernière citation, car j’ai une pensée émue pour ce pauvre Boukovski qui était venu se réfugier imprudemment en Occident, pensant y retrouver la liberté qui n’existait plus dans son pays. Quelle déception pour lui, quand il a compris que notre asservissement avait, là aussi, commencé.
« J’ai vécu votre futur ! C’est l’URSS ! »  On ne peut mieux résumer ! Comme lui, j’ai appris cette terrible vérité, et qui m’est apparu encore plus criante dimanche soir : le capitalisme libéral et le communiste marxiste sont deux TYRANNIES SŒURS ! Toutes les deux seront le tombeau de l ‘humanité,, si nous ne sommes pas capables de les terrasser.

J'ai vécu votre futur! 


jeudi 23 mai 2019

LE MAGNIFIQUE "PLURALISME" DE LA PRESSE FRANÇAISE!


Dans toute sa "beauté"! Et que tous les pays non civilisés nous envient!
Ce n'est pas au temps de la "Pravda" et des "Izvestia" soviétiques, sous Staline, que l'on aurait pu voir cette diversité, cette liberté de ton, d'une presse "libre" et "indépendante"!Heureusement, nous avons chassé toutes ces tyrannies communistes qui n'avaient qu'une seule presse aux ordres! Les pauvres! Vous vous rendez compte de la "chance" que nous avons aujourd'hui? Et il en a encore qui se plaignent?

vendredi 17 mai 2019

LA BRANLÉE ÉLECTORALE A …..90 KM/H


Nous avons tous entendu la bonne nouvelle, ce matin ! Le gouvernement recule devant sa bourde routière des 80 km/h. A votre avis, à quel phénomène étrange doit-on ce revirement, cet accélérateur providentiel de 10 km/h ? Mais oui ! Mais oui ! Vous l’avez deviné ! Nous l’avons tous deviné ! Pas la peine de le crier si fort ! Ce qui est comique, c’est de voir à quel point ces gens du pouvoir sont devenus transparent par la trouille qu’ils dégagent maintenant ! Elle en est quasiment palpable, physique. Espérons que les résultats électoraux seront à la hauteur de leur trouille.
« Demain, on rase gratis ! » Vieux slogan qui reprend du poil de la bête ! Même à l’ère des smartphone, de la 5G, et des patinettes électriques. Pour ces gens-là, la politique a toujours été un métier, et non un service public. Malheureusement pour nous, ils le font de plus en plus mal. Ils ne comprennent même plus la « ringardise » de leurs méthodes de propagande.

samedi 11 mai 2019

LE PRÉSIDENT ET SES OTAGES


Dans un pays totalement imaginaire, dans une république bananière qui n’existe pas (Dieu merci!) un président de la république détesté par la majorité de son pays, s’inquiète pour une nouvelle élection qui doit avoir lieu très bientôt. Il a été élu grâce à la complicité d’une bande de malfrats très friqués, des potes à lui ! Il sent que cette fois-ci, il va se prendre une raclée mémorable. Même ses complices journalistes, sorte de fonctionnaires des informations, toujours grassement payés par ses potes, ne pourront rien pour lui. Ils essaient bien, ces pauvres « chéris » toutes les ficelles de la propagande politique ayant fait ses preuves et dont ils usent déjà depuis des mois. Mais rien n’y fait ; la branlée fatale s’annonce, inexorable. Heureusement pour notre chef d’Etat en mauvaise passe, il a de beaux et magnifiques cabinets de communication. Ces outils précieux, pour tout dirigeant dans le panade, font souvent des miracles, et peuvent redresser des situations les plus tordues, les plus compromises. Donc, l’un deux est sollicité et ne tarde pas à pondre un scénario des plus diaboliques. Il s’agit d’envoyer deux faux touristes (mais vrais agents spéciaux ) dans un pays paumé d’Afrique, dans une zone improbable où règne déjà une certaine insécurité. Ces deux « agents-touristes » seront kidnappés par une équipe de branquignols payés d’avance pour jouer les méchants. Un beau feuilleton médiatique s’enclenche alors pour tenir le bon peuple en haleine ! Les journalistes sont à la manœuvre, trop heureux de jouer cette diversion dans le climat pesant de cette campagne électorale qui bat de l’aile. Et l’avantage, c’est que cela dure plusieurs jours, avec beaux reportages d’envoyés spéciaux, montée de la tension et du suspens. Enfin, l’attaque des « terroristes » et fin de la prise d’otages. Cela permet des heures et des heures d’émissions et de bavardages inutiles sur ce dénouement dramatique, mais excellent par les annonceurs publicitaires . L’armée est à l’honneur et bien évidemment, son « chef » suprême le président de la république. Retour en fanfare des héros organisé en grandes pompes. Accueil émouvant sur le tarmac de l’aéroport militaire, embrassades, yeux mouillés, félicitations, sourires,, et tous les « microteux » au garde-à-vous pour servir cette belle messe médiatique. On poursuit la « kermesse funèbre» par de belles funérailles nationales des soldats tués lors de cette mission ; petite bavure qui augmente l’intérêt émotionnel de la populace toujours sous le choc. Tout de suite, remontée dans les sondages, et notre président enfin soulagé ! Le cabinet de communication a bien fait son boulot. Une petite rosette se prépare pour son patron.
Tout ce que je viens de vous raconter est de la pure fiction. Cela sort uniquement d’un cerveau enfiévré, d’un esprit maladivement complotiste, et irrécupérable ! Il est tellement évident qu’un tel scénario est totalement absurde et d’ailleurs...ne s’est jamais produit dans aucun pays civilisé.




dimanche 28 avril 2019

QUAND ASTÉRIX BAT SIMBAD LE FRIQUÉ

Les tribulations d’une bande de mercenaires du Qatar en crampon, sur une pelouse verte, ne m’ont jamais passionné ! C’est pourquoi,je n’ai pas regardé la finale de la coupe de France. Surtout qu’Avorton 1° y était ! Entre parenthèse, on devait le siffler copieusement, ce qui n’a pas été fait, à mon grand regret. Donc, j’apprends ce matin l’impensable ! Le petit celte breton a foutu une branlée  à ces faux parisiens, mais vrais milliardaires de la « baballe » ! Alors là ? Quelle joie !
Et voyez-vous, ce qu’il y a de plus intéressant,  de plus réjouissant c’est que la France profonde batte une équipe d’apatrides du sport. La morale est enfin sauve. Bon, il faut tempérer notre enthousiasme en sachant que tous les footballeurs « rennais » n’ont pas été nourris à la galette bretonne. Il s’en faut de beaucoup. L’essentiel de l’histoire, c’est que cette victoire risque de réveiller un peu plus la fibre patriotique durement mise à mal pendant des décennies par ces faux prophètes, ces faux intellectuels, ces faux maîtres à penser sévissant dans cette capitale désormais maudite de Paris. C’est aussi la revanche de cette province agricole, « bouseuse », méprisée, abandonnée par des énarques politiques de la doxa européenne.
Nos chers bretons viennent d’avaler la potion magique d’Astérix.
 Espérons que le 1° mai et les semaines suivantes, ils vont s’en servir pour chasser les légions romaines des politicards de Bruxelles !

dimanche 31 mars 2019

LA FRANCE EST OFFICIELLEMENT UNE DICTATURE

Voilà qui ne va pas surprendre beaucoup de nos compatriotes, même si cela doit leur faire de la peine.  Il restera toujours un petit noyau de naïfs indécrottables pour, une fois encore, ne pas le comprendre, et faire semblant de croire que la France est toujours une république libre et indépendante. On s’accroche ainsi, désespérément, à ses illusions en niant une réalité douloureuse. Alors, on va faite un état des lieux succinct pour bien préciser les choses sur cette situation lamentable, honteuse, largement mise en œuvre depuis quelques années, déjà.
La France a déjà perdu sa souveraineté. C’est un fait indéniable, incontestable. Un pays qui perd le contrôle de sa monnaie, de sa diplomatie, de son budget et qui laisse une autorité étrangère lui dicter   sa législation, n’est plus un « pays », n’est plus une « nation »  mais une simple « province » administrée par un pouvoir central qui ne se situe plus sur son territoire historique. Sans avoir fait les sciences politiques, tout citoyen français peut le comprendre. Le peuple français a bien compris qu’on a bafoué sa volonté quand il n’a pas voulu de ce nouveau maître qu’est l’UE. Là, il a su que la souveraineté de son pays disparaissait.  Mais il se croyait encore libre ! Il croyait encore vivre dans une société libre, et sur des acquis sociaux durement gagnés après de longs et dures conflits. Il n’a pas compris tout de suite que la perte de souveraineté de son pays allait , de facto, entraîner la perte de sa propre liberté. IL n’a pas compris, et certains ne veulent toujours pas comprendre, que ces deux vertus sont étroitement liées.
Il est désormais sans défense, sans aucun contre-pouvoir pour lutter contre une bande de gredins, de rapaces étrangers qui le pillent, l’exploitent, tuent son âme, son histoire en volant ses richesses.
Il ne peut même plus compter sur de faux et minables représentants à l’assemblée dite « nationale ».  Ceux-ci ne sont plus que des presse-boutons élus par des scores de voix minables qui détruisent irrémédiablement leur légitimité, mais en se gargarisant sans honte ni complexe, d’une légalité de façade. C’est sur cette majorité d’incapables et de novices inexpérimentés que s’appuie un gouvernement de circonstances comme aurait dit De Gaulle.
Les partis traditionnels, de la droite à la gauche, ont explosé, sont en miettes, remplacés par un ersatz fabriqué de toutes pièces pour soutenir un pantin de président, lui-même fabriqué par une oligarchie d’industriels liée à la pieuvre étatique bruxelloise.
Le système syndical français est totalement corrompu par des décennies de soumission à tous les pouvoirs en place qui lui ont bien acheté la « paix » sociale. Le minable nombre d’encartés ne permettant pas à ces syndicats de vivre, il a bien fallu se contenter des subventions de ce « Léviathan » administratif.  Et comme l’a dit si bien Napoléon : « la main qui donne sera toujours au-dessus de la main qui reçoit ». Donc, la trahison syndicale est actée et sans appel.
-La presse d’opinion, comme les partis politiques a explosé, n’existe plus ! Autrefois, il y avait la presse de gauche, la presse de droite, celle du PC etc. Aujourd’hui, il n’y a plus que celle des marchands et des industriels qui l’ont achetée. Et comme ils l’ont achetée, en bons commerçants qu’ils sont, ; ils en attendent un  « retour sur investissement ». Comme on les comprend !
Sous De Gaulle ses opposants se gaussaient de la seule chaîne de télévision et de son journal télévisé que l’on appelait, non sans une certaine ironie : « la voix de la France ». Maintenant, toutes ces chaînes dites d’infos » ne sont plus que celle du CAC40 ! L’uniformité, dans la multiplicité ! Fallait le faire ! Ils l’ont fait !
Comme si tout ceci ne suffisait pas , il a fallu détruire ce qui fait le fondement même de nos états de  droit : la séparation des pouvoirs !
Le coup de pied de l’âne est venu d’un apatride d’origine espagnol, vite retourné dans son pays d’origine, un certain Valls ! Par un simple petit décret il a mis fin à l’indépendance des magistrats vis-à-vis du pouvoir. Certains vont vous dire que ce n’est pas vrai, que c’est faux, que cela a été rectifié ! Balivernes ! Dans les faits, c’est devenu une réalité. Il faut voir comment un président de la République nomme un haut magistrat en se moquant de l’avis du sérail judiciaire.
Tout ceci prouve, acte, avalise le fait que la France est devenue à son insu une authentique DICTATURE.  Alors que reste-il à notre pauvre peuple ? LA RÉSISTANCE, comme toujours ! 

Souvenons-nous ! Comment est tombé la plus formidable dictature de tous les temps, au siècle dernier, celle de la tyrannie communiste des pays de l’Est, où se trouvait un soit-disant  « paradis des travailleurs » ? Souvenons-nous de la Pologne de ses ouvriers en grève à Gdansk !
SOLIDARNOSC !  Alors sachons retrouver cet esprit de résistance.
Pour finir, je ne peux qu’avoir un sentiment de colère et de dégoût en voyant qu’un traître à sa patrie va salir (et le mot est faible!), va souiller l’endroit où sont morts d’authentiques résistants, d’authentiques héros de la France LIBRE ! Cet imposteur est l’antithèse parfaite de ces martyrs.
Oui ! Désormais la France est une dictature sous la férule impitoyable d’une caste de forbans bancaires et industriels qui ont pris tous les leviers de commande de nos institutions ! Et comme tout forfait bien dissimulé, ils s’agitent comme dans un théâtre de Guignol pour nous faire croire que rien ne s’est passé de tel et que nous pouvons continuer à vivre notre destin comme hier.
Pour les derniers sceptiques qui auraient encore l’espoir fallacieux de lire des sornettes, des idioties de ma part, je leur recommande une interview d’un jeune intellectuel français du nom de Juan Branco qui va vous expliquer de « A à Z » toute l’arrière-boutique terrifiante de cette sombre histoire qui a provoqué la chute de notre pays dans la plus sombre des tyrannies qui s’annonce si le peuple français ne se réveille pas.

INTERVIEW de JUAN BRANCO - Explose tout le Système Macron Mars 2019



lundi 11 mars 2019

LE 16 MARS 2019 : LA VICTOIRE EN CHANTANT !

C’est en ré-écoutant ce vieux chant révolutionnaire français, que j’ai soudain pensé qu’il pourrait être un merveilleux hymne pour les gilets jaunes de samedi prochain.
Que les plus jeunes le découvrent, et que les plus anciens s’en inspirent à nouveau.
Les paroles sont aussi très importantes !
Vous remplacerez les « rois ivres de sang et d’orgueil » par des « banquiers cupides et orgueilleux »
Lisez bien les couplets pour chaque catégorie de citoyens : Un député du peuple, une mère de famille, un enfant,  une jeune fille,  trois guerriers !
Mais n’oublie surtout pas :

La République nous appelle
Sachons vaincre ou sachons périr
Un Français doit vivre pour elle
Pour elle un Français doit mourir.

[Un député du Peuple] 

La victoire en chantant
Nous ouvre la barrière.
La Liberté guide nos pas.
Et du Nord au Midi
La trompette guerrière
A sonné l'heure des combats.
Tremblez ennemis de la France
Rois ivres de sang et d'orgueil.
Le Peuple souverain s'avance,
Tyrans descendez au cercueil.
Refrain (Chant des guerriers) :

La République nous appelle
Sachons vaincre ou sachons périr
Un Français doit vivre pour elle
Pour elle un Français doit mourir.

[Une mère de famille] 
De nos yeux maternels ne craignez pas les larmes :
Loin de nous de lâches douleurs !
Nous devons triompher quand vous prenez les armes :
C'est aux rois à verser des pleurs.
Nous vous avons donné la vie,
Guerriers, elle n'est plus à vous ;
Tous vos jours sont à la patrie :
Elle est votre mère avant nous.

La République nous appelle
Sachons vaincre ou sachons périr
Un Français doit vivre pour elle
Pour elle un Français doit mourir.


[Un enfant] 
De Barra, de Viala le sort nous fait envie ;
Ils sont morts, mais ils ont vaincu.
Le lâche accablé d'ans n'a point connu la vie :
Qui meurt pour le peuple a vécu.
Vous êtes vaillants, nous le sommes :
Guidez-nous contre les tyrans ;
Les républicains sont des hommes,
Les esclaves sont des enfants.
La République nous appelle
Sachons vaincre ou sachons périr
Un Français doit vivre pour elle
Pour elle un Français doit mourir.

[Une jeune fille] 
Et nous, sœurs des héros, nous qui de l'hyménée
Ignorons les aimables nœuds ;
Si, pour s'unir un jour à notre destinée,
Les citoyens forment des vœux,
Qu'ils reviennent dans nos murailles
Beaux de gloire et de liberté,
Et que leur sang, dans les batailles,
Ait coulé pour l'égalité.

La République nous appelle
Sachons vaincre ou sachons périr
Un Français doit vivre pour elle
Pour elle un Français doit mourir.

[Trois guerriers]
Sur le fer devant Dieu, nous jurons à nos pères,
À nos épouses, à nos sœurs,<
À nos représentants, à nos fils, à nos mères,
D'anéantir les oppresseurs :
En tous lieux, dans la nuit profonde,
Plongeant l'infâme royauté,

Les Français donneront au monde
Et la paix et la liberté.

La République nous appelle
Sachons vaincre ou sachons périr
Un Français doit vivre pour elle
Pour elle un Français doit mourir.





mardi 26 février 2019

LE NEO IMPÉRIALISME COMMERCIAL US

Vous n’y croyez pas ? Encore une méchanceté gratuite de la part du vilain anti-américain que je suis ? Pas du tout ! Une triste et épouvantable réalité que chacune et chacun d’entre vous, citoyen Français, devez savoir et que vous n’avez plus le droit d’ignorer. A moins de devenir un « collabo » passif ou actif, comme sous la triste occupation allemande des années 1940-45. Ce n’est pas la peine de crier au scandale ou au « complotisme », c’est aussi la triste réalité d'aujourd’hui.
Ce qui vient de se passer avec les usines Ford de Bordeaux en est un tout petit exemple ! Où, non seulement cette entreprise ferme le site en le délocalisant (800 chômeurs à la porte!) mais INTERDIT la reprise par un concurrent. Et tout ça, en France ! Sur notre territoire !
Mais il y a pire :! Et c’est l’objet de mon article.
A la fin du livre de Frédéric Pierucci : « Le piège américain » sur la postface d’Alain Juillet, je tombe sur ce que je ne pensais pas possible dans une société commerciale française! Je vous donne un extrait de la réflexion de cet ancien directeur de la DGSE, c’est-à-dire du contre-espionnage français.
Accrochez-vous ou restez bien assis !
«  Page 384 du livre :
…….Il n’en demeure pas moins que depuis une décennie, les entreprises européennes sont la cible d’attaque de la justice américaine. Non seulement elles se voient infliger des amendes colossales, mais elles se retrouvent ainsi sous TUTELLE (c’est moi qui souligne)  Les Américains ne se contentent pas d’encaisser de confortables pénalités, ils imposent également à ces sociétés la présence d’un CONTRÔLEUR  (c’est moi qui souligne) durant plusieurs années. 
Ces contrôleurs nommés par eux mais pris en charge par l’entreprise, sont censés vérifier que les normes de compliance sont respectées. Sauf que ces normes, fixées selon des critères conçus spécifiquement outre-atlantique, ne correspondent pas nécessairement à notre vision de l’éthique dans l’entreprise. Voire à notre vision de l’éthique tout court. …. »
Comment ne pas être révolté devant une soumission aussi lâche de nos entreprises devant ce qu’il faut bien appeler un impérialisme commercial déguisé.
Imaginez deux secondes que ce soient des Russes de chez Poutine qui fassent cela ? Vous imaginez le tollé dans notre presse « américanisée » ?
Ce n’est même plus un impérialisme, mais du néo-colonialisme pur et dur !
Français réveillez-vous ! Vous n’avez pas à devenir les esclaves d’un pays qui n’était rien, il y a deux siècles à peine, qui est gouverné par une bande de truands que ne renierait pas Al Capone ! Et qui n’a que pour seule ambition de piller tout ce qu’il y a à piller dans le monde et même chez ses pseudo-alliés devenus des vassaux appauvris ! La vieille Europe a vingt siècles de civilisation et d’expérience de la politique, des sciences, des arts et des valeurs sociales. Ce n’est pas un pays « post-pubère » inculte, et vulgaire, se prétendant le « phare » du monde occidental qui va nous imposer sa loi et sa vision du monde.

lundi 25 février 2019

ADP : UNE GROSSE TIRELIRE LIVRÉE AU PILLAGE

Comme ancien employé de cette belle entreprise pendant près de 35 ans de ma vie professionnelle, il est de mon devoir de vous révéler l’ampleur du hold-up qui se prépare contre elle. Cette entreprise, je la connais par cœur. Je l’ai aimée. Je l’ai vue grandir, je l’ai vue prospérer. J’en connaissais les moindres recoins. Je l’ai sillonnée sur toutes ses plateformes jusque dans des endroits invraisemblables que vous ne soupçonneriez même pas ! Elle fait partie intégrante de ma vie, de mes souvenirs, de mes passions pour ce monde de l’aéronautique. J’ai travaillé à l’exploitation du trafic aérien, et ensuite, au service informatique. C’est là que j’ai pu connaître l’origine de l’immense fontaine à fric que représente ADP.  Je n’ai pas la prétention de vous donner des chiffres exacts, mais juste quelques petites indications qui vous en donneront toute l’ampleur. Juste une anecdote ; lors de mes nombreux stages, j’ai encore le souvenir,  dans les oreilles, d’une collègue travaillant à la direction des finances de Raspail, le siège d’ADP, me disant : « nous avons un gros problème. Nous avons tellement d’argent que nous ne savons plus quoi en faire ! » Et elle était sérieuse !
Alors maintenant je vais vous en révéler quelques « sources » pour que vous saisissiez ce que cela représente réellement  Travaillant au service informatique, alors centralisé, à l’époque, tous les mois nous traitions toutes ces rentrées d’argent dans un vaste programme ayant plusieurs modules distincts et qui se nommait pudiquement : « PRESTATIONS INDUSTRIELLES » !  Ah ! Pour être industrielles, elles l’étaient ! Je vais vous en faire la liste :
Si vous avez pris l’avion pour vos vacances ou attendu des amis à l’aéroport, vous avez dû utiliser un parking pour votre véhicule. Vous connaissez donc la « douloureuse » du prix de ce parking ?
Alors multipliez là par des dizaines de milliers d’autres places sur toutes les plate-formes d’ADP !
C’est de loin, la plus colossale « pompe à fric » d’ADP !  Vous voyez ? Et ce n’est qu’un début. Maintenant, je vais vous lister toutes les autres sources de revenus. Je n’ai pas la prétention d’en faire la liste exhaustive, mais l’échantillon que je vais vous donner suffira largement.
-TAXES D’ATTERRISSAGE : Tout avion, tout aéronef touchant la piste avec ses roues, paye une taxe en fonction de son poids ! ... « Cling ! Cling ! »
-TAXES DE PARKING : Il n’y a pas que les voitures qui paient leur parking. Les avions la paient aussi, à la tonne et à l’heure ! Toute minute commencée...c’est une heure payée ! Ah ! Ben ouais ! Les compagnies aériennes sont riches. …  « Cling ! Cling ! »
TAXES DE PASSERELLES : Pour les avions au contact de l’aérogare, ils doivent payer la location temporaire de la passerelle, le temps de leur « rotation » (arrivée-départ). Mais si ! Mais si ! « Cling ! Cling ! »
TAXES D’ÉCLAIRAGE : Ben oui ? Qu’est-ce que vous croyez ? Les aires de parking doivent être éclairées la nuit. C’est pas l’aéroport qui va payer quand même ? « Cling ! Cling ! »
TAXES DES BUS : Pour les avions n’étant pas au contact, on envoie un certain nombre de bus. Cela peut aller jusqu’à six ! Là aussi...passage à la caisse ! « Cling ! Cling ! »
TAXES PASSAGERS : Voilà une des plus belles ! Tout passager en transit, débarquant ou embarquant paie une taxe dite d’aéroport. Vous voyez le nombre de millions  de passagers pas an, et vous êtes fixés !  « Cling ! Cling ! »
TAXES D’AVITAILLEMENT : Un avion, cela se nettoie à chaque rotation et ça se ravitaille en essence et en nourritures. « Cling ! Cling ! »
LOYERS COMMERCES : Toutes les boutiques logées dans tous les aéroports, et elles sont nombreuses ! Vous le savez bien, pour tous ceux qui ont eu à acheter une petite babiole avant de parti, ou une revue, et bien elles raquent un très beau loyer tous les mois. Et je vous prie de croire qu’il n’est pas donné ! « Cling ! Cling ! »
LOYERS INDUSTRIELS : Peu de gens le savent, mais comme ADP est le propriétaire terrien d’un immense domaine foncier (les deux tiers de Paris intra-muros) Toutes les entreprises qui sont sur son territoire paient un loyer. Même les compagnies aériennes dans leurs hangars ! « Cling ! Cling ! »
Voilà juste un petit aperçu de la fontaine à fric que représente ADP. J’ai sûrement dû en oublier. Les choses ont sûrement dû évoluer depuis mon départ, mais je vous rassure L’essentiel demeure !
Ce sont des MILLIARDS D’EUROS perçus chaque année par l’entreprise. Un trésor fabuleux comme il s’en trouve peu. Mon entreprise n’a jamais, jamais, jamais connu la crise ou l’endettement. C’était une entreprise semi-nationale qui a rapporté le plus d’argent à l’État actionnaire. Et maintenant, cet État a la stupidité colossale de vendre un « bijou de famille » qui appartenait aussi aux Français. C’est la même immense bêtise que la vente de nos autoroutes au secteur privé, avec les conséquences qui en découlent pour le portefeuille des automobilistes.
Vous comprenez maintenant pourquoi la langue de certains flibustiers de la finance traîne par terre à la vue de ce pactole incroyable ! Le pillage de ces forbans était programmé, trop prévisible. Il a fallu aussi la complicité de cette assemblée de carpettes dociles pour réaliser leur hold-up.
Espérons qu’un jour le peuple français reprenne à ces pirates cupides cette belle société prospère. 
Mais je n’ai pas fini de parler de ma belle entreprise, ADP ! J’y ai tellement de souvenirs !
Je peux affirmer que tous ceux qui ont eu le bonheur et la chance d’y travailler l’ont aimée autant que moi. Voilà pourquoi nous sommes tristes et en colère de ce que certains forbans veulent lui faire.

PS. Photo personnelle ©

mardi 19 février 2019

LE CADAVRE DE LA COMMUNE BOUGE ENCORE


Louise Michel ! Sors de ce corps !
Vous ne croyez pas à la réincarnation ? Non ! Bien sûr ! Pourtant, parfois…. !
L’autre jour, je regardais une vidéo sur un réseau social, comme on dit maintenant. Et qu’aperçois-je ? Un petit bout de femme vociférant des imprécations furieuses après le gouvernement, après Macron et son entourage politique. Sa coiffure de cheveux gris s’agitant au vent, dans le style « Bardot » des années 60 , aurait pu sembler ridicule. Elle était loin de l’être. Bien au contraire. Elle m’apparut terriblement émouvante. Mieux que ça encore ! Romanesque ! Courageuse ! Lyrique ! Passionnée ! Soudain, elle me fit penser irrésistiblement à cette grande figure de la Commune de Paris, Louise Michel. Et vous verrez que cette comparaison n’est pas tout à fait galvaudée quand vous prendrez connaissance de ses propos vengeurs. Le lieu aussi était magique. Imaginez le parvis du Trocadéro, là où mes compagnons gilets jaunes, et moi-même avons arpenté ces dalles de marbre si célèbres. Quel fabuleux décor de théâtre naturel ! Un des plus beaux du monde ! Mais revenons à notre « pasionaria » ! Déjà, on sait qu’ elle s’appelle Florence et qu’elle a 64 ans. Elle lance alors son premier cri de guerre, si j’ose dire :
_j’ai pas envie de crever en EHPAD, je préfère crever ici, avec vous ! 
Tout un programme ! N’est-ce pas ? Et ça ne fait que commencer.
_ Et Castaner ? Le voyou joueur de poker, le ministre de la terreur ! 
Et pan sur le bec, comme le dit un vilain canard ! Mais elle continue joyeusement dans la gradation de l’imprécation :
_ Il faut appeler l’ONU  !
Rien que ça !
_ Et ceux qui sont en EHPAD, mettez-les ici, ça va les ressusciter ! 
Voilà un traitement auquel les gérontologues n’ont pas pensé.
Mais là où on atteint au sublime et qui justifie largement le titre de mon article :
« LE CADAVRE DE LA COMMUNE BOUGE ENCORE » !
Ah ! Il fallait le dire ! Il fallait enfin la sortir cette vérité sous-jacente à cette révolte des gilets jaunes !
Et « Louise » poursuit :
_ Le sang de la Commune de Paris ! C’est ça Paris, Madame Hidalgo...Dans son château, qui nous fait le Paris de l’amour tarifié . C’est le Paris de Monsieur Thiers qu’elle nous fait ! Le Paris d’Adolphe Thiers, d’Adolphe Thiers, d’Adolf Hitler ! »
Au passage tous les « Adolphe » franco- allemands sont habillés pour l’hiver. On comprend mieux pourquoi ce prénom est tombé en désuétude.
Je vous épargnerai les propos haineux sur l’édile parisien que vous retrouverez sur la vidéo.
Car je préfère revenir à ceci :
_ Les morts de la Commune de Paris reviennent  !
Elle nous rejouerait pas « Thriller » de Mickael Jackson la « Louise » ? mais ne nous moquons pas. Il y a du vrai dans ses propos. La terrible guerre de classe entre les puissants du pouvoir et un peuple en colère recommence son éternel ballet tragique.
Maintenant, notre pasionaria nous plonge sans prévenir dans notre culture littéraire la plus profonde :
_ Et quant à Manu, qui se pique de littérature qu’il lise « l ‘année terrible » de Victor Hugo... 
Là aussi, je vous épargne la suite que des yeux chastes ne sauraient voir autre part que dans une presse spécialisée dans des drames au-dessous de la ceinture.
Mais cette référence littéraire m’a tellement frappé que j’ai n’ai pu résister d’aller voir de quoi il retournait ! Bien m’en a pris ! J’ai redécouvert, grâce à cette Florence en courroux, de merveilleux poèmes de notre grand génie, parfaitement en situation avec ce que nous sommes en train de vivre.
Je ne peux résister au plaisir de vous livrer un de ses poèmes de feu :

Oh ! qui que vous soyez

Oh ! qui que vous soyez, qui voulez être maîtres,
Je vous plains. Vils, méchants, féroces, lâches, traîtres,
Vous périrez par ceux que vous croyez tenir.
Le présent est l'enclume où se fait l'avenir.
L'araignée est plus tard prise en ses propres toiles.
Aux noirs événements si vous ôtiez leurs voiles,
Vous reconnaîtriez, tremblants, nus, mis en croix,
Dans ces bourreaux masqués vos fautes d'autrefois ;
Derrière lui le meurtre, ivresse, succès, gloire,
Laisse un vomissement qu'un jour il faudra boire ;
En étouffant en vous l'horreur, l'inimitié,
La rage, c'est de vous que vous auriez pitié ;
Les dépenses de sang innocent sont des dettes ;
La trace de l'effort violent que vous faites
Pour être à jamais rois et dieux solidement,
Vous la retrouverez dans votre écroulement ;
Votre fureur revient sur vous, et vous châtie ;
La foudre qui sur vous tombe, est de vous sortie ;
Si bien que le sort donne à la même action
Deux noms, crime d'abord, plus tard punition.



Merci chère petite et courage compatriote, perdue au milieu de cette foule où quelques guignols un peu machistes brouillèrent ton message de leurs infantiles simagrées sans même en être conscients.
Pour tous ceux qui veulent encore s’instruire sur cette terrible tragédie que fut la Commune de Paris, je ne saurais trop vous recommander les conférences vidéos d’Henri Guillemin. Vous allez être sûrement affranchis, baptisés, circoncis, choqués, par tout ce que vous allez apprendre et que l’on s’est efforcé de cacher à la population française pendant des décennies. Sartre disait qu’il ne fallait pas « désespérer » Billancourt (les ouvriers de chez Renault) en leur apprenant que le marxisme n’était pas si « rose » que ça. Alors pour ne pas « désespérer » le peuple français, on a fait passer des martyrs et de vrais patriotes pour des monstres pour laisser le pouvoir a ceux qui en étaient réellement ….des monstres ! Rien que ça ! Mais je vous le laisse découvrir par vous-même !








mercredi 13 février 2019

L’ÉVANGILE ÉTERNEL DE NOS TRUANDS POLITIQUES.

On croit toujours que l’époque tragique que nous vivons invente, crée des situations originales, des scandales ou des injustices sociales jamais vues. Rien n’est plus faux. « L’histoire bégaye » comme l’écrit Karl  Marx. Je suis tombé ce matin, sur une petite vidéo que beaucoup connaissent sûrement déjà. Un extrait d’une pièce de théâtre « le diable rouge »où l’on voit le regretté Claude Rich jouer le cardinal Mazarin.  Comme son auteur est un contemporain, il est évident que Mazarin n’a pas tenu ses propos. Aucun importance ! Mais ce que lui fait dire l’auteur de la pièce est du «vitriol » politique, car c’est tellement VRAI ! Tous les jours, les événements nous en apportent les preuves éclatantes. Mais ce qui est un peu désespérant c’est que cela ne risque pas de s’arranger car c’est  hélas, inérant à la nature humaine. C’est quasiment «l’ADN » d’une grande partie de la classe politique qui nous dirige depuis toujours.
Même Edouard Herriot dont les moins de soixante n’ont jamais entendu parler, disait déjà, en bon gastronome lyonnais qu’il était:
« La politique, c’est comme les andouillettes, ça doit sentir la merde….mais pas trop ! ».
Eh oui ! Je sens que l’on a pas fini d’être dirigé par des truands de politiciens.
Alors, mes « frères » de la classe moyenne, vous n’avez pas fini de courber l’échine sous les impôts. Bah ! Vivement que nous soyons tous pauvres et ruinés. On nous fichera peut-être enfin la paix ?

Le diable rouge:

LES CATHOLIQUES N’ONT PLUS DE PAPE

Le plus grave, c’est que la majorité d’entre eux ne le savent toujours pas. Ils en sont orphelins depuis exactement le 11 février 2013 quan...