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lundi 16 mars 2020

L’OMBRE DE STALINE….OU DE WALL STREET ?

Il est une chronique de télévision que je regarde toujours avec intérêt et même avec une grande passion, c’est « Historiquement votre » sur la chaîne « Histoire ». Je ne saurais trop vous la recommander, car c’est un véritable petit bijou de cultures historiques, toujours d’une grande tenue. Un îlot d’intelligence dans cet océan de crétinisme qu’est devenu le monde « idiot visuel » !
Bref ! Hier Stéphane Courtois, que j’adore pour sa barbe blanche frisottée et ses yeux bleus pétillants de malice, nous parlait d’un nouveau film qu’il faudra absolument voir : « L’OMBRE DE STALINE » (publicité gratuite). Ce film retrace les aventures réelles d’un jeune journaliste britannique en URSS dans les années 30, Gareth Jones, au moment de la grande famine en Ukraine organisée cyniquement par Staline, connue sous le nom d’Holodomor. Jusque-là, cela ne vous semble qu’une saga historique de plus, comme Hollywood nous en pond régulièrement tous les ans. Pas tout à fait ! Car derrière cette histoire, tragique, épouvantable, où des millions d’hommes, de femmes, et d’enfants sont morts atrocement de faim et de misère, dans l’indifférence totale du reste du monde, il se démontre une autre monstruosité que personne n’a vu et qui commence seulement aujourd’hui à apparaître. Ce pauvre journaliste, qui a le malheur de rapporter cette effroyable vérité, va subir un châtiment cruel de la part de ceux qui auraient dû le croire ! Pire ! Il va mourir assassiné dans des conditions très mystérieuses, et probablement par le NKVD de Staline.
« Le premier qui dit la vérité…. » Vous connaissez comme moi la chanson de Béart. Si le destin tragique subit par ce pauvre garçon semble logique de la part des assassins du maître du Kremlin, il n’en est pas de même de toute la haine, de tout le mépris, des terribles campagnes de dénigrement organisées par les siens, par ses collègues contre lui! Et c’est là qu’intervient un personnage « sublime » Walter Duranty, correspondant du New-York Times à Moscou. Alors là ? Je vous recommande l’étude de son pedigree qui vaut son pesant de caramel mou, comme on dit vulgairement. Faites vos propres recherches, vous le comprendrez aussi bien que moi. Mais là où je veux en venir c’est que Stéphane Courtois nous révèle quelque chose de terrible ; non seulement cet « Américain » fait de la propagande pour l’Union soviétique, au point que même Roosevelt le croit, mais que ce sont des ingénieurs anglais et américains qui aident Staline à faire ses plans quinquennaux. Chose que j’avais déjà apprise par Anthony Sutton et que beaucoup devraient aussi lire. D’où la justification de mon titre ! Voilà pourquoi, pendant des décennies, des gens honnêtes, sincères, cultivés, enthousiastes, ont cru défendre une idéologie humanitaire, le communisme, alors qu’ils ne faisaient que réaliser les desseins diaboliques d’une poignée de salopards financiers de Wall Street et de la City. Certains vont sûrement me répliquer que « ce n’est pas aussi simple que ça ! »...Si ! Si ! Malheureusement. La Vérité est toujours simple. Ce sont les fourbes qui s’ingénient à la rendre compliquée et invisible. Et j’en rassemble tous les jours des preuves inattaquables.
La colossale finance apatride est le pire fléau que l ‘humanité n’ait jamais engendré dans toute son histoire. Et vous n’avez pas fini de le découvrir. Enfin...pour ceux qui auront le courage de vouloir le découvrir.
En conclusion, je reprendrai la formule d’Anatole France :
« On croit mourir pour la patrie, on meurt pour des industriels ».
Beaucoup ont cru défendre ou mourir pour l’idéal communiste, alors qu’ils n’ont défendu que les intérêts d’une poignée de crapules à Wall Street et à la City de Londres.

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