DES CONFINÉS, DÉCONFINÉS, ET DES CONS FINIS !

Mon Dieu ! Que cela fait du bien de se soulager enfin, grâce à l’éternel  et indestructible 

esprit français ! Merci Pierrot ! Tu es encore sublime dans ta chanson vengeresse et qui nous console  un peu seulement des tombereaux de bêtises et de conneries qui nous sont tombés dessus depuis six mois. Moi même, je m’étais fendu d’un petit poulet vengeur sans intérêt, mais juste pour lâcher un peu de vapeur de la rage et de la colère qui m’étouffait pendant cette triste période. 

Je me fais donc un plaisir d’envoyer à tous, cette petite chansonnette qui fera son chemin. 

Quant à mes amis de la chorale, j’en profite pour leur dire ceci :

Il n’est pas question, une seule seconde, de revenir à la chorale tant que TOUTE la situation ne sera pas redevenue totalement normale ; c’est à dire que l’on nous fera plus porter ce masque imbécile et inutile, que l’odieuse et stupide « distanciation » ne sera pas abolie. Je ne reviendrai que lorsque nous serons redevenus des êtres LIBRES,  et non pas des zombis soumis, obéissant à des autorités médicales totalement incompétentes et qui ont largement prouvé leur.…..incompétence ! 

J’espère avoir été assez claire ? 

Pierre Perret : les confinis

DES CONS...FINEMENT...ABUSÉS !

LE 14 JUILLET 2020 : ACTE DE DÉCÈS DE LA NATION FRANCE

En près d’un siècle, seule l’Allemagne nazie nous avait privé de notre fête nationale pendant cinq longues années. Cette année, comme si la punition de la pandémie ne suffisait, comme si toutes les humiliations subies par le peuple français à cause d’infâmes dirigeants, pendant plusieurs décennies ne suffisaient pas, on nous lui retire ce qui faisait sa fierté; son défilé national sur les Champs Élysées. Nous savons depuis quelques années déjà, que notre pays avait perdu sa souveraineté, donc sa liberté, et donc par la même, sa dignité et sa grandeur. On savait que l’encéphalogramme plat du fait du manque de réaction de son peuple devant toutes les épreuves qu’il avait subi, indiquait, sans l’ombre d’un doute, une mort tragique avérée. Mais il manquait à cette mort historique un document administratif essentiel ; son acte de décès ! Celui-ci sera signé et promulgué à la face de la terre entière le 14 juillet 2020.

QUAND ROOSEVELT CHASSAIT AUSSI LES MARCHANDS DU TEMPLE

Il y a dans la vie, des choses surprenantes qui vous sautent à la figure, sans même que vous vous y attendez. La Bible dit bien « cherchez et vous trouverez ». Moi, je ne cherchais même pas, puisque je cherchais autre chose. Si mon introduction est très « évangélique » c’est que je suis tombé sur un prophète auquel je ne m’attendais pas  du tout; Franklin Delano Roosevelt ! Lui-même !
Je ne vous le présente pas, vous savez qui c’est ! Par contre le discours qu’il prononça le jour de son arrivée à la Maison Blanche le  4 mars 1933 vaut son pesant de caramel mou, comme on dit vulgairement. Je vous laisse le savourer sans aucun commentaire :

« Les pratiques de marchands du temple sans scrupules se trouvent incriminées devant le tribunal de l’opinion publique, et rejetées par les cœurs aussi bien que par l’esprit des hommes.

« Oui, [ces trafiquants] ont tenté de faire quelque chose, mais leurs efforts portent l’empreinte d’une tradition périmée. Face à l’échec de l’émission de crédit, ils n’ont su proposer que le prêt de davantage d’argent. N’étant plus en mesure de faire valoir la séduction du profit par laquelle ils induisent les gens à suivre leur ascendant frauduleux, ils ont eu recours à des exhortations, plaidant avec des larmes dans les yeux pour un retour à la confiance. Ils ne connaissent que les règles d’une génération d’égoïstes. Ils n’ont aucune vision, et lorsqu’il n y a pas de vision, le peuple meurt.

« Les marchands du temple ont abandonné leurs sièges dans le temple de notre civilisation. Nous devons maintenant y faire revenir nos anciennes vérités. [...]

« Le bonheur ne réside pas dans la simple possession d’argent ; il tient à la joie d’accomplir, à l’émotion profonde de l’effort créateur. La joie et la stimulation morale du travail ne doivent plus être oubliées dans la folle poursuite de profits évanescents. Ces jours sombres que nous vivons vaudront bien tout ce qu’ils nous coûtent s’ils nous enseignent que notre véritable destinée n’est pas de nous laisser faire, mais de pourvoir à nos besoins et à ceux de nos prochains.

« La reconnaissance de la fausseté de la richesse matérielle comme critère de succès va main dans la main avec l’abandon de la fausse croyance suivant laquelle les responsabilités publiques ou une haute position politique se mesurent seulement suivant les critères de vanité et de profit personnel ; et il faut mettre un point final à cette forme de conduite qui trop souvent, dans la banque et les affaires, abaisse une confiance absolue en une injustice, égoïste et sans cœur. [...]

« Une refondation, cependant, ne fait pas seulement appel à des changements d’éthique. Ce pays exige de l’action, et de l’action immédiate.

« Notre toute première tâche est de mettre les gens au travail. Il ne s’agit pas d’un problème insoluble si nous y faisons face avec sagesse et courage. Nous pouvons en partie réussir si nous embauchons directement par l’intervention de l’Etat lui-même, nous mobilisant en vue de cette tâche comme nous le ferions dans une situation de guerre, mais en même temps, grâce à cette force de travail ainsi mobilisée, en accomplissant les grands projets dont nous avons besoin pour stimuler et réorganiser l’utilisation de nos ressources naturelles. [...]

« Finalement, dans notre progression vers la reprise du travail, nous aurons besoin de deux protections contre un retour des maux de l’ordre ancien ; il devra y avoir une stricte supervision de toutes les activités bancaires, de crédit et d’investissement ; il devra en même temps être mis fin à la spéculation faite avec l’argent des autres, et des dispositions devront être prises pour assurer que notre monnaie soit à la fois disponible en quantité suffisante et suffisamment solide. »

Pour parfaire ce discours aux accents évangéliques, je ne résiste pas au plaisir pervers et un tantinet sadique de citer les paroles d’un banquier, directeur de la Banque d’Angleterre, (s’il vous plaît) Montagu Norman, complice avéré de son pote allemand Hjalmar Schatcht directeur de Reichbank :
« L’INSOLENT BÂTARD » ! Oui ! C’est bien de Roosevelt dont il parlait.
Mais heureusement, les choses se sont bien arrangés, après, pour nos banquiers. 

THOMAS SANKARA : MARTYR ET VISIONNAIRE AFRICAIN

Ce n’est pas sans émotion que je viens de revoir son discours sur la dette africaine prononcée le 29 juillet 1987 à Addis-Abeba lors d'un sommet de l'Organisation de l'unité africaine.
Tout est dit sur la dette ! Car ce que dit Sankara à cette occasion, nous concerne tous !
C’est lumineux ! Il n’y a rien à ajouter. Les Africains  se sont fait piller par les banques, comme nous. Seulement avec un peu plus d’avance. La même fourberie financière qui s’était abattue sur ce continent sévit chez nous aujourd’hui, avec les mêmes ravages ! Pauvre Sankara ! Ce discours fut son arrêt de mort. Et l’on comprend bien pourquoi, en l’écoutant. Comment survivre quand on balance à la face de tous ces truands financiers des vérités aussi mortelles ? Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il a manqué de la prudence la plus élémentaire. Mais écoutez bien son discours. Vous verrez que ce qui touchait l’Afrique et ses pauvres Africains allait nous concerner TOUS, nous les occidentaux. Si certains cyniques ont cru qu’il était normal d’exploiter ce continent à notre profit, en employant ces méthodes de gangsters financiers, c’est oublier un peu vite que ces mêmes gangsters allaient plus tard, employer les mêmes méthodes contre nous. Et c’est ce qui s’est passé !
Je ne vous en écrit pas plus ! Écoutez cette voix venue d’outre-tombe, et osez me dire qu’elle ne résonne pas à votre âme, à votre esprit, comme une terrible prédiction, comme un terrible avertissement  qui se sont, hélas, révélés exactes pour nous tous.

Discours du 29 juillet 1987 à Addis-Abbeba

QUAND UN RÉVOLUTIONNAIRE UN COMÉDIEN, UN UNIVERSITAIRE SE REJOIGNENT DANS LA MÊME ANALYSE!

Cela m’a sauté à la figure quand j’ai écouté la fin du discours de Vincent Lindon !

Donc, un comédien, un révolutionnaire, un universitaire, c’est-à-dire Vincent Lindon, Robespierre, et Etienne Chouard se rejoignent soudain dans la même analyse de notre dramatique situation. Ce n’est pas la peine de me dire que leurs univers respectifs sont extrêmement éloigné les uns des autres ! Je le sais ! Cette évidence saute tellement aux yeux que ce n’est pas la peine d’y revenir . Et pourtant ! Ils se rejoignent dans la même colère, dans la même dénonciation d’injustices criantes, dans la même dénonciation de l’hypocrisie monstrueuse dans laquelle nos institutions sont plongés aujourd’hui ! Alors ce ne peut pas être un hasard ! Alors ce ne peut être qu’une vérité qui doit s’imposer à tous !

Quant à Etienne Chouard, je vous renvoie à son combat pour une nouvelle constitution écrite par le Peuple uniquement.

Le peuple français doit reprendre sa souveraineté par une NOUVELLE constitution qu’il aura écrite lui-même ! Comme ont su le faire les Islandais, un petit peuple intelligent et courageux.

Je termine donc par la citation de Robespierre qui est encore d’une telle actualité brûlante qu’elle sonnera comme une gifle cinglante à travers le visage de tous ces imposteurs de la politique qui ont usurpé, depuis trop longtemps un pouvoir illégitime.

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«La source de tous nos maux, c'est l'indépendance absolue où les représentants se sont mis eux-mêmes à l'égard de la nation sans l'avoir consultée.

Ils ont reconnu la souveraineté de la nation, et ils l'ont anéantie.

Ils n'étaient que de leur aveu même que les mandataires du peuple, et ils se sont faits souverains, c'est à dire despotes, car le despotisme n'est autre chose que l'usurpation du pouvoir souverain.

Quels que soient les noms des fonctionnaires publics et les formes extérieures du gouvernement,

dans tout Etat où le souverain ne conserve aucun moyen de reprimer l'abus que ses délégués font de sa puissance et d'arrêter leurs attentats contre la constitution de l'Etat, la nation est esclave, puisqu'elle est abandonnée absolument à la merci de ceux qui excercent l'autorité.

Et comme il est dans la nature des choses que les hommes préfèrent leur intérêt personnel à l'intérêt public lorsqu'ils peuvent le faire impunément, il s'ensuit que le peuple est opprimé toutes les fois que ses mandataires sont absolument indépendants de lui.

Si la nation n'a point encore recueilli les fruits de la révolution, si des intrigants ont remplacé d'autres intrigants, si la tyrannie légale semble avoir succédé à l'ancien despotisme,

n'en cherchez point ailleurs la cause que dans le privilège que se sont arrogés les mandataires du peuple de se jouer impunéments des droits de ceux qu'ils ont carressés bassement pendant les élections.

Robespierre, 29 juillet 1792 

https://www.youtube.com/watch?v=EdZBZUN2t-4&feature=youtu.be

DES CONS...FINEMENT...ABUSÉS !

Dont je fais évidemment partie ! Ne croyez surtout pas que je m’exonère de la stupidité générale, ou de la bêtise ambiante !

C’est bien naturel ! Nous sommes tellement habitués à obéir depuis l’enfance à toute autorité au-dessus de nous que c’en est même un réflexe spinal ! Montaigne nous le disait déjà, il y a plus de quatre siècles : « Notre âme ne branle qu’à crédit, liée et contrainte à l’appétit des fantaisies d’autrui, serve et captivée sous l’autorité de leur leçon. On nous a tant assujettis aux cordes que nous n’avons plus de franches allures. Notre vigueur et liberté est éteinte. “Ils ne sont jamais sous leur propre autorité.”  

Si bien que lorsqu’on nous a terrorisés (et le mot n’est pas exagéré!) avec cette pandémie venue de Chine, nous avons tout gobé, tout accepté, même l’inacceptable, tellement notre trouille était grande. Car il n’y a pas que les peuples qui soient des « moutons de Panurge », il y a aussi des gouvernements, et le nôtre en particulier. Des sommités médicales, dont un prix Nobel, chez nous, et les prix Nobel ne poussent pas si facilement en terre de France, nous avaient pourtant bien expliqué que le confinement était la PIRE des solutions ! La plus idiote, la plus encline malheureusement à propager le virus. Rien n’y a fait ! Bornés et têtus comme une bourrique, nos dirigeants nous y ont contraint. Bien aidés en cela par leurs nervis médiatiques habituels. Il aurait fallu faire autrement ; détecter les vrais porteurs, les isoler, les soigner, et faire porter des masques aux personnes dans les lieux à risques (transports, lieux publiques, etc..). A la suite de quoi, cette épidémie pas plus virulente qu’une épidémie saisonnière, se serait éteinte d’elle-même.

Malheureusement, nous avons eu affaire à un gouvernement d’incapables, d’inconséquents, qui n’ont rien trouvé de mieux que de démolir à petits feux, depuis des années, notre système de santé,  de balancer à la poubelle notre stock de masques sanitaires. Tout ça, pour de misérables, de vulgaires, d’imbéciles considérations financières, dictées par leur criminelle idéologie libérale. Résultat ? Un confinement catastrophique où plus personne n’a le droit de se côtoyer, de se voir, de travailler, de se rencontrer, de même s’embrasser ou de se serrer la main ! En prison, tous ! En cage comme des rats ! Avec des conséquences désastreuses encore non mesurables qui vont faire beaucoup, beaucoup, beaucoup plus de dégâts et de MORTS que l’épidémie elle-même ! Une économie qui va s’effondrer, des faillites par milliers et sûrement des suicides à la clé !

Pire, plus abject encore ! Des vieux mourant dans la solitude la plus totale, abandonnés par leur famille forcée à l’éloignement, certains même euthanasiés cyniquement par médication. Ensuite enterrés comme on ne le ferait pas pour des chiens ! Eux qui étaient de cette génération qui avait connu la guerre et qui avait participé, par leur travail, au redressement et à la prospérité de la France des trente glorieuses ! Belle récompense ! Quelle épouvantable fin de vie !

Et tout cela, je le répète….POUR RIEN !

Pour ajouter encore plus à notre colère et notre rage, nous avons l’exemple humiliant de pays qui n’ont pas suivi notre stupidité et qui se portent très bien, EUX ! Surtout les Chinois, par qui le scandale est arrivé, qui sortent du confinement et qui vont pouvoir encore nous narguer, et nous appauvrir davantage avec leur industrie qui va repartir de plus belle.

Maintenant, il n’est plus temps de se taire ! A l’instar de sainte Catherine de Sienne, que je cite souvent : «  Ah, assez de silence! criez avec cent mille langues. Je vois qu'à force de silence le monde est pourri. »

Oui ! Il est bien pourri, aujourd’hui ! Mais je ne vais pas vous parler en mille langues, mais en trois par cette petite vidéo d’un parlementaire autrichien qui va vous résumer aussi bien que moi, cette situation tragique. 

UN VIEUX PROFESSEUR BIEN TRANQUILLE

Il ne paie pas de mine. Il a la voix chevrotante d’un vieux monsieur qui a vu beaucoup d’élèves et beaucoup de choses dans sa vie. Une sorte de vieux papy bien veillant que l’on verrait entouré de ses petits enfants bruyants, une veillée de Noël. Il faut pourtant se méfier de cette apparence paisible et patriarcale, car ce qu’il nous révèle, dans une interview avec un journaliste d’une chaîne de télévision américaine, entre la poire et le fromage, comme on dit dans une belle expression bien de chez nous, est d’une puissance cataclysmique. Il le fait avec la rigueur toute professorale et terriblement bien argumentée qu’il sied à une personne de sa profession. Il est donc impossible ne pas y prêter attention, ou de mépriser ses propos du haut de notre suffisance, pour certains d’entre nous.

Je ne vais pas vous faire languir davantage, car il s ‘agit de Peter Dale-Scott, un vieux professeur canadien qui a exercé toute sa vie aux États-Unis, en Californie. Plus sérieux et plus probe que ce vieil enseignant, ce n’est pas possible. Il est fait du bois dont on ne fabriquera plus beaucoup d’êtres humains à l’avenir. Je le crains fort.

Bref ! Ce professeur d’anglais a eu la « marotte, l’incroyable « violon d’Ingres » pour occuper ses loisirs, de se plonger dans les archives de la politique intérieure américaine ! Quelle drôle d’idée ?

Il y a vraiment des gens farfelus sur cette planète ! Vous ne trouvez pas ? D’ailleurs à propos de « trouver », c’est LUI qui en a trouvées des choses passionnantes à nous révéler.

C’est lui qui a parlé le premier de cet « Etat profond » qui s’est substitué progressivement à l’État de droit, trop « visible » pour rester honnête ! C’est LUI qui a compris pourquoi le 11 septembre 2001 fut un coup d’État secret de ce même « Etat profond ». Il ne se content pas de l’affirmer, il nous le prouve par des faits, par des témoins, par des archives. Il nous explique le POURQUOI et le COMMENT. Comme pour un vulgaire crime de droit commun, il nous en montre le motif, les moyens, l’opportunité, et les complices.

Il nous l’explique aussi comme ont fait les astronomes pour découvrir les « exo-planètes » non pas en les observant directement, mais en observant les modifications de la lumière des étoiles autour desquelles elles gravitent.

Voilà pourquoi je l’adore ce vieux monsieur qui aurait pu avoir une retraite paisible mais qui a le courage de dire au monde des vérités que personne ne veut voir. Il crie ses vérités au milieu de cette jungle putride des fausses élites occidentales, médiatiques et politiques. Ces fausses élites qui se vendent comme des prostituées à des marchands d’esclaves de toutes les bourses financières de la planète. Il mérite bien d’être dans mon blog « Le devoir d’insolence » !

Maintenant écoutez bien ce qu’il a à nous dire ! Pour l’Histoire, avec un grand « H », pour la sauvegarde de notre dignité et de notre Liberté. 

 Un gouvernement de l'ombre crée le 11 septembre 2001

UNE BONNE MÉTHODE ANTI-FLICAGE !

Ce matin, aux aurores, j’ai fait une expérience passionnante. M’étant réveillé très tôt, vers cinq heures du matin pour aller faire une vidange naturelle, en me recouchant après, je n’ai pas retrouvé le sommeil. Situation archi connue mais propice aux cogitations intellectuelles fructueuses. C’est normal, le cerveau est alors reposé, prêt à fonctionner avec efficacité.  Je me suis mis soudain à penser à cette histoire de flicage par smartphone que les autorités policières veulent mettre en place en France, et même dans toute l’Europe pour contrôler le bon confinement des citoyens. C’est alors que je me suis brusquement rappelé mes quelques maigres notions de physique élémentaire ; l’histoire de cette bonne vieille « cage de Faraday ». Merci Monsieur Faraday !
Et vous allez comprendre pourquoi il faut le remercier comme il le mérite grandement. Il va être le grand sauveur de nos libertés individuelles, d’une manière beaucoup plus efficace que n’importe quelle révolte ou loi protectrice. Même plus besoin de la CNIL ! C’est vous dire ! Je vais vous la faire longue pour ménager le « suce panse » comme l’aurait dit Berrurier, un vieil ami policier que j’ai fréquenté dans ma jeunesse grâce à un génial écrivain nommé Frédéric Dard ! Bref ! Comme disait Pépin ! Oui ! Aujourd’hui, je me sens un peu taquin.
Les plus vifs d’esprit d’entre vous auront déjà compris où je veux en venir, en espérant qu’ils soient quand même très nombreux. Beaucoup d’entre vous ont entendu parler des puces RFID. Ce sont des petites choses grosses comme un grain de riz que l’on peut glisser sous la peau d’un animal ou d’un être humain. Ces puces sont des circuits intégrés, des composants informatiques inertes et passifs. Mais un rayonnement électromagnétique à distance suffit à les réveiller en leur fournissant un minimum d’énergie électrique pour que celles-ci puissent à leur tour, envoyer les informations stockées dans leur mémoire à l’émetteur qui les a ainsi sollicitées en les réveillant.
Ce que beaucoup de gens ignorent c’est que nos smartphones sont des puces RFID en puissance ! C’est-à-dire que  MÊME ÉTEINTS, ils peuvent être interrogés à distance. Si jamais on vous dit le contraire...ON VOUS MENT !
Et c’est là où mon pote Faraday intervient !
Eurêka ! Ais-je fait dans mon lit, car je parle grec quand je suis en forme ! Je ne me suis pas précipité dans ma baignoire comme un certain Archimède. Non ! J’ai pris mon smarthone que j’ai allumé, et je me suis précipité dans la cuisine. J’ai sorti le rouleau d’aluminium dont j’ai extrait une belle feuille pour en entourer amoureusement mon smartphone. Alors, avec le téléphone fixe, je me suis appelé. Alléluia !  Alléluia !  Pas de sonnerie ! Aux abonnés absents ! Pire ! Aux abonnés disparus ! J’ai bien pris soin de refaire l’expérience sans feuille, évidement !
Donc, vous avez tous compris l’astuce ? Amants, maîtresses, malfrats, asociaux, résistants à Big Brother, etc...Voilà une arme infaillible et peu onéreuse !
Je n’ai pas la prétention d’avoir réinventé le fil à couper le beurre, même si je suis sûr que certains y avaient songé depuis longtemps sans la publicité que je lui donne peut-être bien imprudemment.
Car j’ai bien conscience que notre  « Léviathan étatique » ne va pas du tout apprécier cette petite plaisanterie.
Mais moi, et des millions d’autres de par le monde, je veux encore avoir la liberté de ne pas être surveillé ! Même si certains, par imprudence ou par inconscience l’acceptent !
On ne répétera jamais assez cette forte sentence d’un homme qui savait ce qu’était la tyrannie d’un régime monstrueux, Soljenitsyne :
« Notre liberté repose sur ce que les autres ignorent de nous » ! 

 Ou encore : « Chacun a droit au respect de sa vie privée. » Code civil artice 9

 PS (Et la marmotte , elle remet le smartphone dans le papier d’alu!)

NOUS SOMMES RÉELLEMENT GOUVERNES PAR DES MENTEURS ET DES ASSASSINS !

Nous avons la confirmation que les chiffres des victimes sont faux et trafiqués. Non pas qu’il n’y ait pas de réelles victimes du coronavirus. Mais ceux-ci sont gonflés,instrumentalisés exprès pour maintenir l’angoisse et la peur dans la population. Après, on lui fait avaler ce que l’on veut. Une  foule terrorisée est mûre pour accepter n’importe quelles décisions politiques ou administratives. Même les plus iniques, les plus liberticides. C’est pourtant simple à comprendre !
Souvenons-nous de la grippe espagnole qui fit plus de victimes de la guerre de 14-18. Jamais les peuples n'ont été confinés ! Et la vie s’est quand même déroulée normalement, avec infiniment moins de moyens sanitaires qu’à notre époque. Ce confinement est fait pour cacher un scandale majeur, une honte absolue pour des dirigeants indignes. C’est la conséquence désastreuse de cette politique de santé dans ce monde capitaliste et cynique où celle-ci est traitée comme une marchandise ordinaire, où la rentabilité est plus importante que la vie des malades et des patients, devenus des CLIENTS et un hôpital public sommé de se gérer comme une vulgaire SARL ! Voilà ce que cache réellement ce confinement sinistre qui risque de faire plus de dégâts, plus de MORTS,  occasionner plus de souffrances et de drames que la pandémie elle-même !
Le pire dans tout cela, c’est que nous n’avons plus PERSONNE pour nous défendre ! Une opposition morte, des syndicats vendus, des députés méduses et « presse-boutons » des institutions au plus haut niveau de l ‘État corrompus jusqu’à la moelle ! Et pour parachever le tout, une presse, des médias complètement soumis à tous ces gredins financiers, vrais maîtres du pouvoir politique.
Oui ! Le tableau est sombre ! Le pire n’étant jamais sûr, j’espère sincèrement qu’une lueur d’espoir finira par jaillir enfin dans ce printemps bien compromis.


LES MENSONGES DES CHIFFRES

LA PREUVE PAR QUATRE!

L’OMBRE DE STALINE….OU DE WALL STREET ?

Il est une chronique de télévision que je regarde toujours avec intérêt et même avec une grande passion, c’est « Historiquement votre » sur la chaîne « Histoire ». Je ne saurais trop vous la recommander, car c’est un véritable petit bijou de cultures historiques, toujours d’une grande tenue. Un îlot d’intelligence dans cet océan de crétinisme qu’est devenu le monde « idiot visuel » !

Bref ! Hier Stéphane Courtois, que j’adore pour sa barbe blanche frisottée et ses yeux bleus pétillants de malice, nous parlait d’un nouveau film qu’il faudra absolument voir : « L’OMBRE DE STALINE » (publicité gratuite). Ce film retrace les aventures réelles d’un jeune journaliste britannique en URSS dans les années 30, Gareth Jones, au moment de la grande famine en Ukraine organisée cyniquement par Staline, connue sous le nom d’Holodomor. Jusque-là, cela ne vous semble qu’une saga historique de plus, comme Hollywood nous en pond régulièrement tous les ans. Pas tout à fait ! Car derrière cette histoire, tragique, épouvantable, où des millions d’hommes, de femmes, et d’enfants sont morts atrocement de faim et de misère, dans l’indifférence totale du reste du monde, il se démontre une autre monstruosité que personne n’a vu et qui commence seulement aujourd’hui à apparaître. Ce pauvre journaliste, qui a le malheur de rapporter cette effroyable vérité, va subir un châtiment cruel de la part de ceux qui auraient dû le croire ! Pire ! Il va mourir assassiné dans des conditions très mystérieuses, et probablement par le NKVD de Staline.

« Le premier qui dit la vérité…. » Vous connaissez comme moi la chanson de Béart. Si le destin tragique subit par ce pauvre garçon semble logique de la part des assassins du maître du Kremlin, il n’en est pas de même de toute la haine, de tout le mépris, des terribles campagnes de dénigrement organisées par les siens, par ses collègues contre lui! Et c’est là qu’intervient un personnage « sublime » Walter Duranty, correspondant du New-York Times à Moscou. Alors là ? Je vous recommande l’étude de son pedigree qui vaut son pesant de caramel mou, comme on dit vulgairement. Faites vos propres recherches, vous le comprendrez aussi bien que moi. Mais là où je veux en venir c’est que Stéphane Courtois nous révèle quelque chose de terrible ; non seulement cet « Américain » fait de la propagande pour l’Union soviétique, au point que même Roosevelt le croit, mais que ce sont des ingénieurs anglais et américains qui aident Staline à faire ses plans quinquennaux. Chose que j’avais déjà apprise par Anthony Sutton et que beaucoup devraient aussi lire. D’où la justification de mon titre ! Voilà pourquoi, pendant des décennies, des gens honnêtes, sincères, cultivés, enthousiastes, ont cru défendre une idéologie humanitaire, le communisme, alors qu’ils ne faisaient que réaliser les desseins diaboliques d’une poignée de salopards financiers de Wall Street et de la City. Certains vont sûrement me répliquer que « ce n’est pas aussi simple que ça ! »...Si ! Si ! Malheureusement. La Vérité est toujours simple. Ce sont les fourbes qui s’ingénient à la rendre compliquée et invisible. Et j’en rassemble tous les jours des preuves inattaquables.

La colossale finance apatride est le pire fléau que l ‘humanité n’ait jamais engendré dans toute son histoire. Et vous n’avez pas fini de le découvrir. Enfin...pour ceux qui auront le courage de vouloir le découvrir.

En conclusion, je reprendrai la formule d’Anatole France :

« On croit mourir pour la patrie, on meurt pour des industriels ».

Beaucoup ont cru défendre ou mourir pour l’idéal communiste, alors qu’ils n’ont défendu que les intérêts d’une poignée de crapules à Wall Street et à la City de Londres.

LA DRONE DE GUERRE OU LA GUERRE DES LÂCHES !

Comment une civilisation comme la nôtre a-t-elle pu arriver à ce degré d’abjection, de lâchetés guerrières inqualifiables. Comment accepte-t-on (merci l’ONU!) qu’une puissance hégémonique militaire TUE à distance des citoyens, des individus d’une autre nation, avec laquelle elle n’est pas en guerre, sans l’ombre d’un jugement ? Comment ? Encore, ces attaques immondes ne tueraient-elles que « d’affreux » terroristes, on pourrait fermer hypocritement les yeux, mais ce sont des FEMMES et des ENFANTS qui sont tués aussi lâchement, que doit-on dire ? Que doit-on penser ?

Voilà ce genre de crimes que dénonçait Assange ! Doit-on aussi punir tous ceux qui les dénoncent ?

Le témoignage fracassant d'un ex-pilote de drone

QUAND LES « BEXITEURS » REMPLACENT LE « PEUPLE » ANGLAIS.

Hier soir, nous avons assisté à un phénomène assez étrange, mais tout à fait naturel à notre époque ; la disparition pure et simple d’un peuple. Les Britanniques sont redevenus indépendants, mais, paradoxalement, il n’y a plus de peuple britannique, seulement des « brexiteurs » ! Etonnant, non ?

Nos salopards de la caste de ceux qui nous dirigent, et leurs larbins journalistes, ont explosé les peuples, ils les nient, ils les exècrent même. Le mot « peuple » est devenu une obscénité aussi repoussante que vérole ou pute ! Je n’exagère même pas ! Ils nous ont viré, nous le PEUPLE, de leur vocabulaire pour satisfaire les exigences de la « novlangue » du politiquement correct.

Toute contradiction assumée, ils emploient avec un snobisme et une pédanterie obscène, des mots du sabir anglo-américain précisément celui de ces peuples honnis et secrètement détestés. Avouez que c’est plutôt cocasse ? Pour mettre la cerise sur ce gâteau indigeste, ce matin, il était risible et franchement comique de constater que les sujets les plus importants des médias, n’était plus le BREXIT, mais l’épidémie chinoise, les rapatriés sanitaires français, les sempiternels résultats du foot, et la mort d’UN écrivain célèbre américain.

Nos chiens enragés n’ont pas digéré leur échec. C’est le moins que l’on puisse constater. Mais leur mauvaise humeur, leur mauvaise foi deviennent de plus en plus visibles, évidentes, qu’ils n’ont même plus la pudeur élémentaire de les dissimuler sous le masque de leur « fauchetonnerie » professionnelle.

N’en déplaise à tous ces petits prêtres de la cause européiste, LES PEUPLES EXISTENT TOUJOURS et existeront toujours ! Et le PEUPLE anglais vient de remporter une belle victoire.

Il est infiniment triste que le PEUPLE français ne puisse en faire autant aujourd’hui. Lui, il reste encore dans cet esclavage de plus en plus insupportable de l’UE !