jeudi 31 décembre 2020

LETTRE OUVERTE AUX JOURNALISTES DE FRANCE ET D'AILLEURS

Préambule:  Cet article est de  Frédéric Vidal pour France Soir! Il est d'une telle importance pour nous tous, que je me fais un devoir absolu de vous le transmettre. Contre une tyrannie pure et dure, et qui est de moins en moins sanitaire, l'arme absolue est l'INFORMATION! La grande majorité des journalistes ont trahi leur métier, ont trahi leur éthique. C'est à NOUS, citoyens (encore libres!) de prendre le relais! 


Tribune

Je m’adresse à vous tous journalistes des médias de masse de France et d’ailleurs, mais surtout à celles et ceux d’entre vous qui se sentent très mal à l’aise dans leur métier depuis quelques mois. Je sais que vous êtes nombreux à vous reconnaître ainsi.

Vous êtes aujourd’hui en dissonance, comme le sont de nombreux agents de ce que l’on appelle aujourd’hui les « forces de l’ordre » et qu’on appelait il n’y a pas si longtemps les « gardiens de la paix ». Tout comme eux vous avez doucement glissé ces dernières années vers des valeurs contraires à ce qui vous animait et vit encore en vous. Vous avez lentement dérivé du statut de journaliste à celui de propagandiste, de l’information à la désinformation, par dissimulation, mais aussi par le mensonge brut.

Cette année 2020, la pente s’est accrue et tout s’est précipité. Le plan annoncé par les lanceurs d’alerte depuis des années, ceux-là-même que vous appeliez complotistes, est lancé et vous entraîne à une vitesse vertigineuse, bousculant rudement vos ultimes inhibitions s’il en reste. Vous voilà aujourd’hui acteurs d’un sinistre canular, pris dans une spirale folle parce que ces dernières années vous avez progressivement accepté l’inacceptable au regard de votre déontologie professionnelle piétinée.

Vous ne dites rien sur la réalité de cette fausse pandémie, dont les chiffres officiels (voyez ceux de l’INSEE) montrent qu’il n’y a eu aucune surmortalité en 2020 par rapport aux décennies précédentes. Elle est pourtant le mensonge que vous nourrissez avec grand zèle chaque jour et sur lequel repose la mise en place accélérée de la dictature du nouvel ordre mondial.

Vous ne dites rien de ce qui se passe aux États-Unis depuis l’élection présidentielle, laissant croire que Biden a gagné en tout honneur et que Trump n’est qu’un mauvais perdant. C’est le contraire de la vérité, vous le savez, Biden ne sera sûrement pas président. Et ce qui se passe là-bas alors que j’écris ces mots va impitoyablement déferler sur le monde et faire imploser bien des « démocraties » occidentales. Comment pensez-vous vous en sortir ?

Vous ne dites rien de la pédocriminalité sataniste institutionnalisée dans nos pays occidentaux, suggérant au mieux que ce sont des phénomènes isolés alors que c’est la base religieuse de l’organisation et du fonctionnement des psychopathes qui manipulent le monde avec votre complicité.

La liste est interminable de ce que vous ne dites pas d’essentiel parce que vous n’avez jamais pris la peine de vous y pencher ou que vous avez fait le choix de l’occulter sciemment. Au mieux, vous obéissez à l’inique et ce n’est pas davantage excusable.

Derrière le paravent de cette mascarade politico-sanitaire, vous avez choisi de servir la soupe que tendent au bas peuple les 1 % des 1 % les plus riches de ce monde organisé par et pour la corruption. Une guerre mondiale contre tous les peuples est en cours pendant que vous les divertissez en agitant les ombres de la caverne de Platon, dans l’intérêt d’une poignée malveillante et despotique que par lâcheté vous continuez à servir à travers vos médias.

Je suis désolé si les mots sont durs, mais l’heure n’est plus aux litotes.

Pour celles et ceux d’entre vous qui ont abordé ce métier par vocation, votre position est intenable. Vous ne pouvez plus fermer les yeux sous prétexte de factures à payer en fin de mois. Vos enfants, s’ils ne sont pas eux aussi sous hypnose, s’en foutent de vos factures, mais pas de leur avenir.

La situation demande du courage à toutes et tous. Chaque jour, de plus en plus n’ont pas de quoi répondre à leurs besoins essentiels. Ils sont conduits là pour devenir pleinement dépendants de ceux-là même qui ont allumé l’incendie. Ils seront alors précipités à épouser une société dont personne en conscience ne voudrait, en-dehors des psychopathes qui en sont les instigateurs, mais qu’ils risquent en inconscience d’accepter pour retrouver l’illusion d’un bol d’air. Une société mondialiste, liberticide et génocidaire, que vous-mêmes ne voulez pas pour vos enfants et leurs descendants. Qu’allez-vous faire pour eux et pour vous ?

Cette dictature sans précédent par son ampleur, calquée sur le modèle du parti communiste chinois, est en marche forcée, vous l’avez vu, vous le voyez parce que s’il vous reste la curiosité, le flair et la quête de la vérité qui sont l’essence du journalisme, vous en avez l’information, comme tous ceux qui vous ont remplacé au pied-levé, l’ont. Je parle des lanceurs d’alerte et de tous ceux qui les relaient, ceux que l’on nomme les soldats numériques. Car oui ce sont des soldats puisque nous sommes en guerre. Beaucoup de ceux-là sont tombés au fil des années, mis à l’écart, internés, assassinés, « suicidés ». Certains même étaient journalistes, comme Julian Assange pour ne nommer que lui dont l’actualité est encore brûlante. Il est une honte pour vous tous qui l’avez abandonné et parfois renié.

Lorsque la maison brûle et qu’on est à l’intérieur, on ne se demande plus s’il est risqué ou non d’essayer d’éteindre les flammes, pas plus qu’on fait la moue sur qui vient nous aider à les maîtriser.

Encore faut-il accepter de voir l’incendie. Je concède qu’à ce jour, bien des aveugles sont aussi devenus sourds, c’est ainsi que leur psyché se protège de regarder en face les illusions qui les ont jusque-là bercés. Je ne m’adresse pas à eux, je sais qu’ils s’effondreront lorsque trop de révélations auront brisé leurs dénis.

Aujourd’hui, avec cette fausse pandémie sans mortalité supérieure à une grippe, l’un des plus grands mensonges de l’humanité, car il y en a d’autres encore plus grands qui seront mis en lumière, orchestre le déroulement d’un plan préparé depuis très longtemps pour la mise en place d’un pouvoir sans partage, qui ne se cache plus et dont les aspects occultes sont plus terribles encore que la plupart ne l’imaginent.

L’arme absolue qui garantira la réussite de cette offensive est l’information.

Vous êtes cette arme, que vous le vouliez ou non. Vous servez directement la cause des agresseurs, c’est ce pour quoi vous êtes aujourd’hui payés. Pensez-vous vous supporter longtemps dans ce rôle ? Il n’y a pourtant rien de mauvais en vous, au contraire, écoutez ce qui crie tout au fond de vous et libérez-vous de ce poids que votre conscience ne pourra jamais digérer.

Les peuples du monde entier ont besoin de vous, ils ont besoin que vous leur donniez la juste information, celle qui leur permettra de ne pas succomber, de se libérer de l’illusion qui les conduira sinon vers un esclavage absolu. Leur conditionnement fait qu’ils n’ont pas la capacité pour la plupart d’aller eux-mêmes chercher cette information à la source, ni même auprès des journalistes citoyens qui présentent la seule alternative, ils sont trop formatés, tétanisés par les techniques de manipulation des masses pratiquées au quotidien, ils sont sous hypnose.

Seule une minorité n’est pas captive de cette camisole mentale. Si cette minorité grandit chaque jour, elle ne suffit pas encore. Les lanceurs d’alerte n’ont pas cessé d’informer, d’apporter les preuves de ce qu’ils avançaient, mais ils ne peuvent atteindre ceux qui restent rivés devant leurs téléviseurs et croient encore en vos mensonges.

Alors que faire dans votre mal-être ? Avoir le courage, comme le fera bientôt j’espère le peuple de France, de renverser les pouvoirs iniques. C’est un devoir, qui même s’il n’a jamais été appliqué reste inscrit dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793.

Reprenez vos salles de rédaction et vos studios TV, ne vous préoccupez pas de ceux qui les possèdent et vous ont achetés, écartez les corrompus et commencez à diffuser la vérité. Si vous le faites, il y aura des risques bien sûr mais mesurés, et vous ne serez pas seuls, appelez le peuple à venir protéger vos bâtiments des tentatives du pouvoir de les reprendre. Appelez les policiers et les militaires courageux à faire de même. Il y en a autant chez eux à vivre le même malaise que vous.

N’attendez pas de n’avoir plus rien à perdre, ça sera trop tard. Les choses peuvent encore se faire sans violence, mais quand vous n’aurez plus rien, quand les peuples n’auront plus rien, la violence sera très difficile à endiguer. C’est ce qu’il nous faut tous conjurer, tant qu’on le peut encore, en agissant dans le bon timing.

Une partie de la jeunesse n’a plus d’espoir, sa colère grandit, parfois sa révolte. Une autre partie est amorphe. Elle se sent acculée contre un mur devant un gouffre sans avenir. Les artisans et les PME qui sont le tissu social et l’économie réelle de nos pays sont aux abois, les classes les plus pauvres s’appauvrissent encore, la classe moyenne est en voie de destruction. Tout cela va très vite désormais car c’est planifié en ce sens par ceux qui se désignent comme « l’élite » avec votre complicité et parfois vos collusions, vos conflits d’intérêts, votre corruption.

D’ici cinq ans, soit le monde sera en paix et se réorganisera sur les bases de nouveaux systèmes de gouvernance, soit il sera l’enfer mondialiste et ultra-matérialiste que promeuvent les classes dominantes pédosataniques.

Cela dépend de tous, mais de vous particulièrement, parce que vous détenez l’arme de l’information qu’ils utilisent pour maintenir les peuples dans la peur et la soumission, par le mensonge et la répression. Si la répression concerne les militaires et les policiers, qui se retrouvent aujourd’hui devant les mêmes choix, le mensonge est votre affaire, vous avez le pouvoir de le faire cesser.

L’Histoire se fera et pour qui sait voir entre les lignes, malgré les sombres apparences du moment, elle s’écrira le moment venu dans le sens d’une grande libération et pas d’un enfermement. Je vous le dis, ceux que vous servez perdront et devront faire face à leurs crimes et leurs responsabilités, du plus petit au plus grand. Vous avez le pouvoir de vous inscrire dans le bon sens de l’Histoire ou dans le mauvais.

L’important n’est pas ce que vous avez fait jusqu’à maintenant, mais ce que vous allez faire à présent. C’est cela qui sera retenu. Respectez-vous, respectez-nous.

 Auteur(s): Frédéric Vidal pour FranceSoir



lundi 21 décembre 2020

BULLETIN DE SANTÉ D’UN CON-FINÉ


Génial ! Merci Aristide ! A mourir de rire….ou du covid ! Mais qui a pu donner les clés du pouvoir d’un pays aussi grand, aussi respectable (autrefois!) que la France  à un guignol pareil ? 

En tous les cas bonne lecture ! 

Aristide Renou : Monsieur le président, Puisque vous avez jugé bon de nous donner personnellement de vos nouvelles, comme si nous étions des proches ou des familiers, vous me permettrez sans doute de m’adresser à vous de manière assez familière. Au risque de vous décevoir, monsieur le président, nous n’étions pas inquiets pour vous. Les Français ont beau être un peuple plutôt fâché avec les chiffres, comme le montre notamment le niveau mathématique catastrophique de nos écoliers, la plupart ont néanmoins fini par intégrer quelques vérités basiques au sujet du virus dont vous êtes atteint. Notamment que son taux de mortalité est insignifiant pour les personnes de votre âge. Vous ne courrez aucun danger particulier, monsieur le président, vous le savez et nous le savons aussi, même si, bien entendu, un coup de malchance ne peut jamais être exclu. Mais c’est la vie. La vie qui se termine inévitablement par la mort pour chacun d’entre nous, chose que vous et votre gouvernement semblez quelque peu avoir oublié depuis le début de cette épidémie.

Imagine-t-on, monsieur le président, le général de Gaulle faire une allocution solennelle depuis son iphone pour nous informer qu’il a la grippe ? 

Non, bien sûr. On ne l’imagine pas davantage nous dire, l’air grave, qu’il nous tiendra au courant jour par jour de l’évolution de sa maladie : si son nez coule plus aujourd’hui qu’hier, s’il a 38°5 au lieu de 38°3, si ses selles sont un peu molles et qu’il a pris du Smecta, etc.

Non seulement vous n’êtes pas en danger, mais en plus la France ne souffrira aucunement du fait que vous soyez temporairement diminué. Vous nous assurez, avec le plus grand sérieux, que vous continuez à travailler et à suivre les dossiers les plus importants, comme si nous pouvions penser que le navire France allait se briser sur les récifs si vous lâchez la barre quelques jours.

Tout cela est ridicule. La France a suffisamment de millions de fonctionnaires – dont certains compétents - pour que l’Etat continue à tourner comme si de rien n’était même si vous êtes alité et, à supposer qu’il vous arrive malheur – ce que personne ne souhaite, bien évidemment – le cas est prévu par nos institutions : vous seriez promptement remplacé et un Français qui ne suivrait pas l’actualité ne se rendrait sans doute même pas compte de votre disparition.

Votre vie n’est pas menacée et par ailleurs vous n’êtes pas indispensable. Voilà la vérité, monsieur le président. Une vérité qui semble malheureusement vous échapper.

De même qu’il semble vous échapper que 99% de la population se moque comme de colin-tampon de ce qu’il peut arriver à l’individu Emmanuel Macron. Vous ne nous intéressez que dans la mesure où vous êtes le chef de l’Etat, où vous présidez la France pour une durée déterminée. Mais l’homme privé Emmanuel Macron nous est indifférent, aussi indifférent que n’importe lequel de nos compatriotes avec lequel nous n’avons pas de lien personnel.

Il est par conséquent pathétique de tourner de petites vidéos faussement improvisées et dans lesquelles vous semblez nous faire pénétrer dans votre intimité, comme celle-ci. Personne n’est dupe de la mise en scène et, surtout, tout le monde se fout de savoir si Macron Emmanuel a mal au crâne ou s’il a le nez bouché. Imagine-t-on le général de Gaulle se présenter aux Français en robe de chambre, avec une poche de glace sur la tête et le thermomètre dans la bouche ? Non, bien sûr, et c’est pourtant à peu près ce que vous faites.

Pour tout dire, monsieur le président, nous en savons déjà beaucoup trop long sur l’homme privé que vous êtes : que vous avez épousé une femme qui pourrait être votre mère, que vous aimez les cordons bleus, que vous semblez éprouver une attirance irrépressible pour les jeunes hommes noirs au torse musclé, et autres choses du même genre qui vont du prodigieusement inintéressant au légèrement répugnant.

Nous n’avons pas envie de pénétrer dans votre intimité. Nous n’avons pas envie d’être proche de vous. Nous n’avons pas envie de savoir si vous avez des cors au pied ou si des hémorroïdes vous poussent lorsque vous mangez trop épicé.

Comprenez, monsieur le président, que la fonction qui est la vôtre est une fonction sacrificielle, ou qui devrait l’être. Car un président ne peut être à la hauteur de sa tâche que s'il comprend que, en dépit de ses privilèges personnels, en dépit des flatteries et de l’admiration dont il est l’objet, sa personne a été réduite à néant par ses responsabilités. Pour y voir clair, il ne doit compter pour rien à ses propres yeux.

Je vous dis tout cela, monsieur le président, mais je n’ai à vrai dire aucun espoir que vous m’entendiez. Car cette petite vidéo grotesque nous rappelle, si jamais nous l’avions oublié, à quel point vous êtes égotique.

Elle nous rappelle aussi à quel point vous êtes manipulateur, puisque vous profitez de votre maladie pour nous ramoner une nouvelle fois le conduit auditif au sujet des fameux « gestes barrières », comme si nous étions de petits enfants à qui l’on doit sans cesse rabâcher les mêmes choses. Encore un peu et vous allez nous dire qu’il ne faut pas mettre les doigts dans son nez en public ou bien les pieds sur la table. Tout cela, bien entendu, pour essayer de nous persuader que cette épidémie nous fait courir un grave danger et que les contraintes démesurées que vous nous imposez depuis des mois sont pleinement justifiées.

Quant au « nous allons tous ensemble résister, le vaccin va arriver, je reviendrai vers vous très vite, bon courage » qui clôt votre intervention, le ridicule devient presque douloureux tant on est gêné pour vous de vous voir employer de si grands mots pour une si petite chose et avec un air si faux. Ne dirait-on pas, à vous entendre, que nous sommes à la veille du débarquement allié en juin 44 et que la France va enfin être libérée du joug des nazis ?

Je ne me demande même plus « si le général de Gaulle », car à ce stade je me dis qu’il faut plutôt penser que jamais le général de Gaulle n’aurait imaginé avoir un jour un successeur tel que vous. Et sans doute n’est-ce pas plus mal car, s’il avait pu voir aussi loin dans l’avenir, il aurait probablement renoncé à lancer l’appel du 18 juin.

Restez confiné le plus longtemps possible, monsieur le président, et surtout, surtout, sans nous donner personnellement de vos nouvelles, le pays ne s’en portera que mieux. Et n’oubliez pas : à Noël pas plus de six à table et Brigitte dans la cuisine avec la demi-bûche.

vendredi 4 décembre 2020

UNE MYSTÉRIEUSE CONVERSATION

En cette période de cauchemar sanitaire, largement fabriqué par une oligarchie mafieuse de la finance et de l’industrie pharmaceutique, je tombe sur cette petite « perle » cinématographique et philosophique. Une étrangeté de film américain tourné par un réalisateur français, Louis Malle, en 1981, et intitulé : «My dinner with André ».


Les propos ,tenus par le principal narrateur, qui ont près de quarante ans, sonnent comme une terrifiante musique à nos oreilles. 

Dans ceux-ci, il parle de New-York comme d’une prison. Cela me rappelle le film de science-fiction : « New-York 1997 » où cette ville était transformée en un immense centre pénitentiaire. Film de John Carpenter sorti en 1981. Tiens ? La même année ?  

Personnellement, j’ai toujours détesté ces « termitières géantes » pour êtres humains que sont ces villes géantes qui poussent à travers la planète, alors que d’autres ne veulent pas vivre autre part ! 

Et dans le film de Louis Malle, le narrateur nous en donne une effroyable et plausible signification. C’est qu’il voit l’humanité disparaître complètement, ou plus exactement, se transforme en une masse de robots sans âme. C’est ce qu’imaginait déjà un certain H. G. Wells dans « La machine à explorer le temps » ! Et par un hasard extraordinaire, cet auteur anglais était aussi partisan d’un eugénisme assez scandaleux. Comme tout se rejoint étrangement ? N’est-ce pas ? Mais je vous laisse à cette étrange conversation où l’espoir n’a pas complètement absent. 

(Un cauchemar Orwellien My dinner with Andre 1981


New-York 1997

https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=253.html


BRIGITTE OU LA VENGEANCE POSTHUME DE GABRIELLE ?

  Qui se souvient de Gabrielle Russier ? Sûrement pas les moins de quarante ans ! C’est bien regrettable. Ils auraient appris le destin trag...