samedi 14 juillet 2018

PERFIDE ALBION!


En faisant une recherche sur cette expression, je me suis aperçu que j'étais bien EN DESSOUS DE LA VÉRITÉ! C'est vraiment une nation "vénéneuse"! Il faudrait toute une thèse universitaire pour bien le mettre en lumière! C'est incroyable! Mais pourtant strictement authentique! Je n'ai pas le temps de développer ici, mais je vous jure bien qu'il y aurait un magnifique "filon" à exploiter pour un futur docteur en Histoire!
Juste quelques petits exemples pour vous mettre en bouche (non exhaustifs, bien sûr!) :


En 1415, à la bataille d’Azincourt, sur ordre d'Henri V, les Anglais tuent les prisonniers français. Ils achèvent les blessés survivants le lendemain.
En 1704, une force anglo-néerlandaise commandée par l'amiral George Rooke a pris possession du rocher de Gibraltar. Le traité d'Utrecht en 1713 en a concédé la propriété à la Grande-Bretagne. Cette concession n'aurait pas été un abandon de la souveraineté espagnole, et ce serait un abus de la part du Royaume-Uni de continuer à en revendiquer la totale souveraineté.
En 1755, sans déclaration de guerre, les Britanniques capturent 300 navires de commerce français et emprisonnent 6 000 marins civils. Cette action préventive semble avoir eu une grande influence sur l'issue des combats nécessitant l'appui de la marine lors de la future guerre de Sept Ans.
En 1801, Horatio Nelson sous les ordres de l'amiral Hyde Parker attaque et défait par surprise, sans déclaration de guerre, la flotte danoise à la bataille de Copenhague.
En 1803, sans déclaration de guerre, le gouvernement britannique fait saisir tous les navires français à sa portée et confisque pour 200 millions de marchandises.
En 1815, une épidémie de fièvre jaune a décimé les Britanniques de Gibraltar. L'Espagne a alors offert une assistance humanitaire généreuse aux Britanniques, ce qui n'empêcha pas ces derniers de saisir de nouveaux territoires espagnols par la suite.
En juillet 1815, l'empereur Napoléon Ier, à la fin des Cent-Jours, demanda asile au capitaine Maitland du Bellerophon, qui accepta au nom du royaume d'Angleterre et invita l'Empereur à bord de son navire. Napoléon accepta, par respect envers un vieil ennemi, selon lui. En cours de route, la Perfide Albion changea d'avis et déclara l'Empereur prisonnier de guerre avant de l'envoyer sur l'île Sainte-Hélène pour le restant de ses jours, vivant dans des conditions sans rapport avec sa gloire passée malgré une stricte étiquette observée par l'entourage de l'ex-Empereur. Malgré ses protestations officielles, Napoléon, qualifié officiellement de général Bonaparte, ne fut pas reçu par le gouvernement britannique : on lui signifia son nouveau statut à distance car, crainte ou mépris, on le préférait aussi loin que possible pour qu'il n'ait plus d'emprise sur l'histoire de l'Europe. Sur son lit de mort, il porta le blâme sur la maison régnante, l'accusant d'empoisonnement (de l'arsenic en quantités importantes fut retrouvé dans ses cheveux, bien que l'on soupçonne également l'empoisonneur d'être Montholon... ou la teinture de ses rideaux de lit).
En 1878, les bateaux britanniques entrent dans la mer de Marmara en menaçant de s'immiscer pendant la guerre russo-turque de 1877-1878, et empêchent la prise de contrôle d'Istanbul par les Russes malgré la neutralité garantie auparavant.
En 1898, le commandant Marchand se lance dans une expédition périlleuse en direction du Haut-Nil. Il occupe au nom de la France la petite bourgade de Fachoda et le rebaptise fort Saint-Louis. À cette époque, le Haut-Soudan est sous la juridiction de l'Égypte, donc indirectement sous celle de la Sublime Porte (gouvernement de Constantinople) à travers le khédive, le roi d'Égypte. En pratique, l'Égypte est un protectorat britannique. Lord Kitchener est envoyé sur place par Lord Salisbury, ministre des affaires étrangères britannique du cabinet de Benjamin Disraeli, pour exiger le retrait des troupes françaises. Les deux détachements se font face mais n'engagent pas le combat. C'est la crise de Fachoda. Le gouvernement de la IIIe République cède aux injonctions britanniques sur ce territoire en échange de l'appui du Royaume-Uni concernant le protectorat français au Maroc. L'épisode de Fachoda est vécu en France comme une profonde humiliation.
Wikipédia

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