C’est fini, terminé, digéré, assumé ! J’ai souvent rapporté ces sentiments personnels qui pourraient en choquer pas mal, dans les chaumières « roses bon teint » comme les nommait avec malice, un de mes vieux professeurs de collège. J’ai vécu toute ma jeunesse dans une banlieue rouge, très rouge, comme on le disait autrefois, et j‘ai même vécu dans un quartier nommé « la butte rouge » ! C’est vous dire ! Rouge du sang des Communards qu’on y fusillait ! Mais c’est peut-être une légende ! Belle banlieue où fleurissait sur tous les murs des « US GO HOME », des « PAIX EN ALGÉRIE », des « SAUVONS L’ÉCOLE PUBLIQUE », « LE FASCISME NE PASSERA PAS ! », déjà ! Pour parfaire ce beau tableau, mes professeurs de collège étaient tellement « rouges » qu’ils en étaient même carrément communistes. Dans nos cours d’histoire, ils nous glissaient insidieusement toutes les « beautés » du paradis des ouvriers ; la Russie soviétique. Quant à l’Histoire de France, on nous a appris, très tôt, que nos rois étaient tous des pourris dégénérés, des « fachos » avant la lettre, et que notre « bonheur » social et historique avait commencé quand on a guillotiné d’une manière industrielle tous ces « ci-devants», ces exploiteurs du peuple. Pour parachever le tout, j’avais un grand-père ouvrier communiste dans ces Ardennes vivant encore à la Zola. Tout cet admirable « bouillon de culture » a donné la magnifique et la glorieuse génération des « soixante-huitards ».
Et bien vous savez quoi ? Par miracle, ou protection divine, j’y ai échappé ! Déjà mon instinct de petit garçon était choqué, révulsé par toute cette période dite « révolutionnaire ». La guillotine, cette hideuse et macabre machine, m’a toujours procuré un sentiment de dégoût total, de honte, d’horreur indicible. Je ne comprendrai jamais, mais alors jamais ceux qui en réclame encore aujourd’hui l’usage. Quant aux massacres de Vendée que l’on nous présentait « aimablement » comme une guerre nécessaire à la république, quelques dégâts collatéraux qu’il fallait bien accepter au nom des « beautés futures » de cette « sainte » république, je ne les ai jamais acceptés. Toutes ces atrocités répugnantes ne trouvaient aucune « grâce » à mes yeux, et surtout pas au nom d’un républicanisme purement idéologique.
Tout le restant de ma vie, j’ai donc repoussé toute cette fourberie hypocrite d’une gauche triomphante dans les cervelles de mes amis, de ma famille et mes compatriotes. Et comme le Général De Gaule le proclamait aussi ; « je n’aime pas les socialistes, car ils ne sont pas socialistes ». Mais vous me rétorqueriez, avec juste raison, que « l’instinct », les sentiments, ne sont pas des instruments valables, objectifs pour juger un régime politique ou l’histoire. Vous auriez parfaitement raison. Heureusement pour nous, il reste encore, dans cette société, quelques esprits très cultivés, très intelligents, très lucides et qui ont pour passion l’Histoire de notre pays. Mais la VRAIE histoire de notre pays. Pas celle que des pouvoirs politiques successifs nous fabriquent, pour nous tromper et nous manipuler. Je pourrais aussi citer tous les grands esprits de notre pays qui nous ont aussi mis en garde contre les mensonges de l’histoire fabriquée ; Victor Hugo, Lamartine, Chateaubriand, SimoneVeil, etc...Oui, cette race en voie d’extinction ce sont les Historiens. L’un de mes premiers maîtres fut Henri Guillemin. Merveilleux bonhomme, merveilleux conteur, qui m’a fait comprendre que beaucoup de mes doutes étaient justifiés.
Mais un événement précis est venu me procurer une catharsis définitive pour ma répulsion, mon divorce définitif avec ce régime infâme et trompeur que l’on nomme imprudemment chez nous « république ».
C’est la conférence vidéo de Marion Sigaut de quatre heures. :
C’est peut-être long, mais si vous avez le courage de la visionner jusqu’au bout, je ne sais pas si vous allez redevenir royaliste ou monarchiste, mais il est une certitude ; vous ne serez plus jamais républicain à la sauce française.
Et si cela ne suffisait pas, je viens de lire cette « cerise » sur ce gâteau » pourri où se mêle le népotisme le plus illégitime que n’aurait pas renier l’ancien régime, avec un socialisme de carton pâte d’un Mitterrand mafieux.
Une….apothéose !
Texte copié sur VK de Jj Ker
29 juil. 2024 à 21:00
MAZARINE, C'est INIMAGINABLE ?
Mazarine actuellement occupe toujours le château de Souzy-la-Briche, et bénéficie pour sa protection d'un poste à cheval de huit gendarmes gardes républicains, chevaux, 4x4 et autres véhicules. Ce poste permanent sous le commandement d'un Adjudant chef, est logé à 11kms du dit château dans le parc de Baville à St-Cyr-sous-Dourdan. Cela permet à Mme en dehors de sa protection habituelle de se promener à cheval, ou en toutes circonstances, sous haute protection. Mais pour cela, nos gardes républicains doivent couvrir cette distance de 11kms pour la rejoindre avec véhicules et chevaux ! Cela plusieurs fois par jour, car il faut assurer les roulements horaires...!!! Et oui, ils doivent garder les abords du château et patrouiller à cheval dans les jardins et le parc du château.
Nous sommes plusieurs membres de notre groupe de sonneurs à pouvoir en témoigner, pour avoir été plusieurs fois sur le site où est logé le poste à cheval.
Plainte de Mazarine PINGEOT-MITTERRAND, contre les Français !!
Mazarine et Didier LE BRET (ancien diplomate du gouvernement Hollande se sont mariés en Juillet 2017
Elle nous la baille belle, la dame Mazarine Pingeot.
Récemment, on apprend qu''elle se plaint de ce que « les Français » critiquent les privilèges dont elle a bénéficié durant tout le règne de son père bigame, Mr Mitterrand (le Président le plus transparent )
À en croire, on lui taperait dessus parce qu'elle a été une enfant illégitime. Eh oui, en France, nous sommes tous des salauds, c'est bien connu, et nous faisons payer aux enfants le comportement de leurs parents. Mille pardons, Madame, mais vous êtes à côté de vos pompes !
Ils s'en fichent, les Français, de la liaison adultère de votre géniteur, et vous remarquerez qu'en 2012, ils ont élu un président qui a eu quatre enfants avec une femme qu'il n'avait pas conduite devant Monsieur le maire.
En réalité, ce qu'on reproche à votre père et accessoirement à vous, ce sont quelques broutilles.
Par exemple, d'avoir constitué un peloton de gendarmerie pour assurer votre SEULE protection (lui avait ses gendarmes), et que c'est un colonel de gendarmerie (à la carrière très prometteuse par la suite) qui vous conduisait chaque matin à l'école lorsque vous étiez enfant : il est évident qu'un officier de haut grade ne pourrait rien faire de plus utile ...
Ou encore, d'avoir été logée, avec votre mère, dans un appartement luxueux du Quai Branly, appartenant à la présidence de la République, et dont le bailleur officiel, François de Grossouvre, payait toutes les dépenses, avant d'être poussé au suicide par votre père, une fois abandonné, au point de se tirer une balle dans son bureau de l'Élysée....
Ou encore, d'avoir passé tous vos week-ends, avec votre mère, au château de Souzy-la-Briche, qu'un admirateur du Général De Gaulle avait légué par testament à la République...
Ou encore, lorsque vous avez eu l'âge d'avoir un amant, je n'écris pas son nom, il est à "Canal Plus" aujourd'hui et il est très connu, d'aller passer vos week-ends à New York en sa compagnie, aux frais de la République c'est à dire aux frais de nous tous, nous les Français, les salauds...
Bref, vous en avez bien profité, de votre illégitimité toute royale, comme si nous étions encore sous Louis XIV.
Et c'est nous qui, à notre insu et sans même être mis au courant, avons payé toutes vos additions !
« Les coulisses de la Révolution Française : Le décryptage par Marion Sigaut ! » Sur la chaîne de Nicolas Bouvier.