La France a déjà perdu sa souveraineté. C’est un fait indéniable, incontestable. Un pays qui perd le contrôle de sa monnaie, de sa diplomatie, de son budget et qui laisse une autorité étrangère lui dicter sa législation, n’est plus un « pays », n’est plus une « nation » mais une simple « province » administrée par un pouvoir central qui ne se situe plus sur son territoire historique. Sans avoir fait les sciences politiques, tout citoyen français peut le comprendre. Le peuple français a bien compris qu’on a bafoué sa volonté quand il n’a pas voulu de ce nouveau maître qu’est l’UE. Là, il a su que la souveraineté de son pays disparaissait. Mais il se croyait encore libre ! Il croyait encore vivre dans une société libre, et sur des acquis sociaux durement gagnés après de longs et dures conflits. Il n’a pas compris tout de suite que la perte de souveraineté de son pays allait , de facto, entraîner la perte de sa propre liberté. IL n’a pas compris, et certains ne veulent toujours pas comprendre, que ces deux vertus sont étroitement liées.
Il est désormais sans défense, sans aucun contre-pouvoir pour lutter contre une bande de gredins, de rapaces étrangers qui le pillent, l’exploitent, tuent son âme, son histoire en volant ses richesses.
Il ne peut même plus compter sur de faux et minables représentants à l’assemblée dite « nationale ». Ceux-ci ne sont plus que des presse-boutons élus par des scores de voix minables qui détruisent irrémédiablement leur légitimité, mais en se gargarisant sans honte ni complexe, d’une légalité de façade. C’est sur cette majorité d’incapables et de novices inexpérimentés que s’appuie un gouvernement de circonstances comme aurait dit De Gaulle.
Les partis traditionnels, de la droite à la gauche, ont explosé, sont en miettes, remplacés par un ersatz fabriqué de toutes pièces pour soutenir un pantin de président, lui-même fabriqué par une oligarchie d’industriels liée à la pieuvre étatique bruxelloise.
Le système syndical français est totalement corrompu par des décennies de soumission à tous les pouvoirs en place qui lui ont bien acheté la « paix » sociale. Le minable nombre d’encartés ne permettant pas à ces syndicats de vivre, il a bien fallu se contenter des subventions de ce « Léviathan » administratif. Et comme l’a dit si bien Napoléon : « la main qui donne sera toujours au-dessus de la main qui reçoit ». Donc, la trahison syndicale est actée et sans appel.
-La presse d’opinion, comme les partis politiques a explosé, n’existe plus ! Autrefois, il y avait la presse de gauche, la presse de droite, celle du PC etc. Aujourd’hui, il n’y a plus que celle des marchands et des industriels qui l’ont achetée. Et comme ils l’ont achetée, en bons commerçants qu’ils sont, ; ils en attendent un « retour sur investissement ». Comme on les comprend !
Sous De Gaulle ses opposants se gaussaient de la seule chaîne de télévision et de son journal télévisé que l’on appelait, non sans une certaine ironie : « la voix de la France ». Maintenant, toutes ces chaînes dites d’infos » ne sont plus que celle du CAC40 ! L’uniformité, dans la multiplicité ! Fallait le faire ! Ils l’ont fait !
Comme si tout ceci ne suffisait pas , il a fallu détruire ce qui fait le fondement même de nos états de droit : la séparation des pouvoirs !
Le coup de pied de l’âne est venu d’un apatride d’origine espagnol, vite retourné dans son pays d’origine, un certain Valls ! Par un simple petit décret il a mis fin à l’indépendance des magistrats vis-à-vis du pouvoir. Certains vont vous dire que ce n’est pas vrai, que c’est faux, que cela a été rectifié ! Balivernes ! Dans les faits, c’est devenu une réalité. Il faut voir comment un président de la République nomme un haut magistrat en se moquant de l’avis du sérail judiciaire.
Tout ceci prouve, acte, avalise le fait que la France est devenue à son insu une authentique DICTATURE. Alors que reste-il à notre pauvre peuple ? LA RÉSISTANCE, comme toujours !
Souvenons-nous ! Comment est tombé la plus formidable dictature de tous les temps, au siècle dernier, celle de la tyrannie communiste des pays de l’Est, où se trouvait un soit-disant « paradis des travailleurs » ? Souvenons-nous de la Pologne de ses ouvriers en grève à Gdansk !
SOLIDARNOSC ! Alors sachons retrouver cet esprit de résistance.
Pour finir, je ne peux qu’avoir un sentiment de colère et de dégoût en voyant qu’un traître à sa patrie va salir (et le mot est faible!), va souiller l’endroit où sont morts d’authentiques résistants, d’authentiques héros de la France LIBRE ! Cet imposteur est l’antithèse parfaite de ces martyrs.
Oui ! Désormais la France est une dictature sous la férule impitoyable d’une caste de forbans bancaires et industriels qui ont pris tous les leviers de commande de nos institutions ! Et comme tout forfait bien dissimulé, ils s’agitent comme dans un théâtre de Guignol pour nous faire croire que rien ne s’est passé de tel et que nous pouvons continuer à vivre notre destin comme hier.
Pour les derniers sceptiques qui auraient encore l’espoir fallacieux de lire des sornettes, des idioties de ma part, je leur recommande une interview d’un jeune intellectuel français du nom de Juan Branco qui va vous expliquer de « A à Z » toute l’arrière-boutique terrifiante de cette sombre histoire qui a provoqué la chute de notre pays dans la plus sombre des tyrannies qui s’annonce si le peuple français ne se réveille pas.
INTERVIEW de JUAN BRANCO - Explose tout le Système Macron Mars 2019
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