Il est une chronique
de télévision que je regarde toujours avec intérêt et même avec
une grande passion, c’est « Historiquement votre » sur
la chaîne « Histoire ». Je ne saurais trop vous la
recommander, car c’est un véritable petit bijou de cultures
historiques, toujours d’une grande tenue. Un îlot d’intelligence
dans cet océan de crétinisme qu’est devenu le monde « idiot
visuel » !
Bref ! Hier
Stéphane Courtois, que j’adore pour sa barbe blanche frisottée et
ses yeux bleus pétillants de malice, nous parlait d’un nouveau
film qu’il faudra absolument voir : « L’OMBRE DE
STALINE » (publicité gratuite). Ce film retrace les aventures
réelles d’un jeune journaliste britannique en URSS dans les années
30, Gareth Jones, au moment de la grande famine en Ukraine organisée
cyniquement par Staline, connue sous le nom d’Holodomor. Jusque-là,
cela ne vous semble qu’une saga historique de plus, comme Hollywood
nous en pond régulièrement tous les ans. Pas tout à fait !
Car derrière cette histoire, tragique, épouvantable, où des
millions d’hommes, de femmes, et d’enfants sont morts atrocement
de faim et de misère, dans l’indifférence totale du reste du
monde, il se démontre une autre monstruosité que personne n’a vu
et qui commence seulement aujourd’hui à apparaître. Ce pauvre
journaliste, qui a le malheur de rapporter cette effroyable vérité,
va subir un châtiment cruel de la part de ceux qui auraient dû le
croire ! Pire ! Il va mourir assassiné dans des conditions
très mystérieuses, et probablement par le NKVD de Staline.
« Le premier
qui dit la vérité…. » Vous connaissez comme moi la chanson
de Béart. Si le destin tragique subit par ce pauvre garçon semble
logique de la part des assassins du maître du Kremlin, il n’en est
pas de même de toute la haine, de tout le mépris, des terribles
campagnes de dénigrement organisées par les siens, par ses
collègues contre lui! Et c’est là qu’intervient un
personnage « sublime » Walter Duranty, correspondant du
New-York Times à Moscou. Alors là ? Je vous recommande l’étude
de son pedigree qui vaut son pesant de caramel mou, comme on dit
vulgairement. Faites vos propres recherches, vous le comprendrez
aussi bien que moi. Mais là où je veux en venir c’est que Stéphane
Courtois nous révèle quelque chose de terrible ; non seulement
cet « Américain » fait de la propagande pour l’Union
soviétique, au point que même Roosevelt le croit, mais que ce sont
des ingénieurs anglais et américains qui aident Staline à faire
ses plans quinquennaux. Chose que j’avais déjà apprise par
Anthony Sutton et que beaucoup devraient aussi lire. D’où la
justification de mon titre ! Voilà pourquoi, pendant des
décennies, des gens honnêtes, sincères, cultivés, enthousiastes,
ont cru défendre une idéologie humanitaire, le communisme, alors
qu’ils ne faisaient que réaliser les desseins diaboliques d’une
poignée de salopards financiers de Wall Street et de la City.
Certains vont sûrement me répliquer que « ce n’est pas
aussi simple que ça ! »...Si ! Si !
Malheureusement. La Vérité est toujours simple. Ce sont les fourbes
qui s’ingénient à la rendre compliquée et invisible. Et j’en
rassemble tous les jours des preuves inattaquables.
La colossale finance
apatride est le pire fléau que l ‘humanité n’ait jamais
engendré dans toute son histoire. Et vous n’avez pas fini de le
découvrir. Enfin...pour ceux qui auront le courage de vouloir le
découvrir.
En conclusion, je
reprendrai la formule d’Anatole France :
« On croit
mourir pour la patrie, on meurt pour des industriels ».
Beaucoup ont cru
défendre ou mourir pour l’idéal communiste, alors qu’ils n’ont
défendu que les intérêts d’une poignée de crapules à Wall
Street et à la City de Londres.
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